leon1789 a écrit:
Personnellement, j'ai besoin d'un argument arithmétique.
C'est sur le post qui précéde
raito123 a écrit:Oui :we: !!
raito123 a écrit:Si tu veux mais en fait j'ai démontrer que ce que j'ai supposer au début est faux !!
raito123 a écrit:( dis je me suis bien éxprimer ?)
leon1789 a écrit:Mais je te pose encore une petite question :we: :
est-ce que ton hypothèse initiale sur la finitude de A ne sert pas uniquement à la fin pour obtenir une contradiction ? Autrement dit, cette hypothèse initiale serait-elle uniquement là pour obtenir une contradiction au final ?
...si tu n'avais pas d'hypothèse au début, ta preuve fonctionnerait tout pareil, et à la fin il y aurait pas de contradiction, mais tu prouves quand même le résultat demandé !
Tu vois ce que je veux dire ?
leon1789 a écrit:Mais je te pose encore une petite question :we: :
leon1789 a écrit:est-ce que ton hypothèse initiale sur la finitude de A ne sert pas uniquement à la fin pour obtenir une contradiction ? Autrement dit, cette hypothèse initiale serait-elle uniquement là pour obtenir une contradiction au final ?
leon1789 a écrit:...si tu n'avais pas d'hypothèse au début, ta preuve fonctionnerait tout pareil, et à la fin il y aurait pas de contradiction, mais tu prouves quand même le résultat demandé !
Tu vois ce que je veux dire ?
leon1789 a écrit:ben oui, pourquoi ?
raito123 a écrit:ça fait 3 questions ( deux si on dit qut t'as seulement reformuler la premiére :ptdr: :ptdr: )
raito123 a écrit:Oui tout à fait d'accord !! Et oui je vois ce que tu veux dire :we:
leon1789 a écrit:C'est comme si, pour démontrer A => B, on disait :
... => ... => B. Or on a supposé non B, donc contradiction. Donc B est vrai. Conclusion A => B >>
Et là, je remarque qu'on démontre deux fois le résultat, puisque dans la preuve par l'absurde de A => B, on a la preuve directe de A => B !!
leon1789 a écrit::we:
Ce que je constate assez souvent (pas toujours), c'est qu'une preuve par l'absurde contient en elle, plus ou moins cachée, une preuve directe ou une preuve par contraposée.
Voilà :zen:
A+ :dodo:
raito123 a écrit:Oui je vois ce que tu ce que veux dire mais parfois avec l'absurde ( qui peut aussi ne pas se schématiser comme tu as fait) on trouver le résultat recherché plus vite et d'une maniére plus "chic" !!( et économique comme tu avait dit )
raito123 a écrit:Et puis si on reprend ton schema : alors y a aucun mal à utiliser l'absurde , non?
leon1789 a écrit:Mais ce que je veux dire, c'est qu'il est bon de ce forcer à ne pas à abuser (à ne pas rédiger) de preuve par l'absurde tant que faire se peut... Cela ne relève pas de l'axiomatique, c'est plutôt "méta-mathématique" et expérimental. (Bon là, ça y est, je suis classé dans la catégorie des "fou à lier" :ptdr: )
ThSQ a écrit:On veut montrer p => q.
On fait par l'absurde : p et non(q) => q1 => ... => qn faux.
"démo sans absurde" : toute le monde sait que non(qn) est vrai, donc non(q(n-1)) est vrai donc ..... à aucun moment on a prononcé l'ignominieux "par l'absurde" mais c'est du pareil au même pour moi, sauf qu'on a sorti du chapeau q(n) qu'on ne peut trouver qu'en faisant la démo par l'absurde.
ThSQ a écrit:On est d'accord, tout comme il est bon de se forcer à ne pas abuser de la preuve directe :ptdr: surtout quand elle est une reducio ad absurdum simplement retournée :lol5:
abcd22 a écrit:L'aspect « algorithmique » est aussi dans la preuve par l'absurde.
abcd22 a écrit:(...) si j'ai « A et B => C » dans mon cours, le jour où je dois montrer non B et que ce n'est pas trop dur de montrer A et non C je suis censée être capable d'utiliser mon cours pour en déduire non B sans qu'il soit nécessaire d'écrire explicitement cette implication dans le cours, si on commence comme ça on va aussi s'amuser à écrire les contraposées de toutes les propositions qu'on démontre, ça peut être intéressant de réfléchir à ce genre d'équivalences à titre d'exercice mais ça ne vaut pas le coup de tout écrire dans un cours/livre, les élèves sont censés réfléchir un peu par eux-mêmes et savoir comment passer d'une proposition à sa contraposée.
Lemme d'évitement des idéaux premiers (version 1)
Si I est évite un nombre fini d'idéaux premiersalors I évite leur union
.
Lemme d'évitement des idéaux premiers (version 2)
Si I est inclus dans l'union d'un nombre fini d'idéaux premiersalors I est inclus dans l'un des idéaux
.
Il suffit de trouver un élément qui évite les p_i les "plus gros". Parmi
les p_i, on ne retient donc que les "plus gros".
On peut alors choisir des éléments.
Soit![]()
L'intérêt deest qu'il a appartient à tous les
sauf
(car
premier).
De même il existe des.
Le produitappartient alors à
et tous les
sauf
(car
premier).
Enfin, la sommeappartient à
, mais à aucun des
(car pour chaque
, tous les produits
, sauf 1 et 1 seul, appartiennent à
).
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