c pi a écrit:Bonsoir
Ce n'est pas très élégant,
mais c'est ce qui m'est venu à l'esprit :
Comme BK = Aire(ABC)/5,
BK est maximale quand Aire(ABC) est maximale.
Or Aire(ABC) = AH.BC/2
ce qui peut s'exprimer en fonction de x
car BC/2 = x/2 et AH²=10²-(x/2)².
On aura donc Aire(ABC)=f(x) qui sera maximale
lorsque sa dérivée f'(x) s'annulera pour une valeur m de x.
Si par hasard m² était égal à 10²+10²,
on aurait BC²=AB²+AC²...
Moi j'aime bien ta demo, si le plus rapide est le critere d'esthetisme alors elle n'est pas elegante.
Mais si le critere d'elegance est l'originalité et la justesse de la methode, alors elle est elegante.
Personnellement j'ai toujours trouvé ca beau de resoudre des probleme geometrique analytiquement et des problemes analytique geometriquement.
Resoudre une equadif en utilisant les espaces affine par exemple c'est vraiment beau.
Il y a quelquechose de jubilatoire a considerer l'espace des fonctions disons continues, comme un espace affine de fonction, d'assimiler une solution particuliere a un point et de chercher la droite des solutions en la definissant comme l'espace affine passant par un point solution particulier de direction l'espace vectoriel des solutions generales de l'equation sans second membre...
Exemple si f verifie df/dx-d^2f/dx=5 (1)
et que g verifie dg/dx-d^2g/dx^2=3x (2)
avec f1,f2 deux solutions de (1)
et g1,g2 deux solutions de (2)
alors il existe k tel que f2-f1 = k(g1-g2)
geometriquement:
Soit d et d' deux droites paralleles:
soit f1 et f2 deux points de d.
soit g1 et g2 deux points de d'.
Soit O un point quelquonque du plan.
alors vecteur (Of1)- vecteur(Of2)= k ( vecteur (Og1)- vecteur(Og2) )