aviateur a écrit: beagle a écrit:
......!
Je crois que ta femme a raison. En effet si tu classes ce machin ni dans le vrai ni dans le faux tu démolis tout sur quoi sont fondées les mathématiques.
loin de moi la volonté d'un tel geste. Simples lacunes de ma part, je n'ai pas d'expérience de ce que cela peut apporter, c'est tout.
Parce que de mon temps au lycée on utilisait l'implication, on utilisait le si p alors q,
avec p vrai implicite = pas besoin de le préciser.
Et cela n'engendrait pas d'erreur de raisonnement.
D'ailleurs comment aurait-on fait autrement?
Si l'énoncé du problème 9 page 147,
ben on supposait l'énoncé vrai.
D'ailleurs on aurait jamais écrit, pour tout x de IR, si x² =1 alors…
On aurait écrit , soit x de IR, si x²=1 alors…
S'il fallait demontrer pour tout x, c'était pour démontrer que c'était vrai pour tout x.
Et il me semble que les ordinateurs s'accommodaient très bien des langages de programmation if… then…
Donc je ne pense pas que tout s'écroulerait.
Cela signifiait si j'ai A alors j'ai B.
Pour la récurrence si on avait n alors on aurait n+1, d'où l'utilité de l'initialisation pour lever le conditionnel.
Pour l'absurde si j'avais A alors B. Ben je peux pas avoir B, donc A doit pas etre vrai.
Je ne vois pas où la cohérence flanche dans une telle utilisation.
ce qui est différent de on peut enrichir le machin pour aller plus loin, ok d'ac les gars...
L'important est de savoir quoi faire lorsqu'il n' y a rien à faire.