Matheux philosophe a écrit:Robot a écrit:N'as-tu pas remarqué que c'est dans la section "VOUS ETES ENSEIGNANT TITULAIRE DE L’EDUCATION NATIONALE" ?
C'est une aberration :
L'oral du CAPES ne sert, strictement, à rien, dans la sélection, dans le recrutement, pour les postes adaptés au CNED :
Je dirais même qu'une proportion non négligeable de ceux qui prétendent aux postes adaptés, se feront d'avantage éliminer à l'oral, alors que celui-ci ne sert à rien dans le cadre d'un poste au CNED, qui est avant tout un poste et un métier d'écrit.
Matheux philosophe a écrit:L'enseignement au collège est tellement élémentaire, basique, rudimentaire et rasoir, que quasiment tout étudiant en mathématiques qui se respecte, possède, nécessairement, les connaissances nécessaires :
Par contre, tout étudiant en mathématiques, même voire un titulaire du CAPES, ne possède pas nécessairement les bases de la pédagogie ni celles de la gestion de classe.
Il faut posséder et maîtriser, un peu plus de connaissances pour enseigner au lycée, mais fondamentalement, pour un étudiant en mathématiques, ce n'est pas très sorcier, et ces connaissances ou bien on les a, ou bien on se les réapproprie très vite.
Le métier (en classe) s'apprend, essentiellement et avant tout, sur le tas et avec l'expérience (surtout avec le peu de formation qu'on reçoit).
Matheux philosophe a écrit:Honnêtement, lors de l'épreuve orale de leçon du CAPES externe, tu n'as pas le temps de faire un vrai cours et les exigences des oraux, sont à des années lumières de celles réellement exigées et nécessaires pour exercer le métier (en classe).
Matheux philosophe a écrit:Par contre, tout étudiant en mathématiques, même voire un titulaire du CAPES, ne possède pas nécessairement les bases de la pédagogie ni celles de la gestion de classe.
Matheux philosophe a écrit:A Ben314 et bolza,
Dans mes travaux, il y a pour le moment, une forteresse en béton armé à abattre
et des efforts d'intuition et de préformalisation,
de nature encore inconnue voire inédite voire de l'ordre de l'indicible et de l'inexprimable,
à fournir, intensément et massivement ,
avant de pouvoir aboutir à quelque chose de véritablement potable et exprimable de façon intelligible,
c-à-d à une formalisation finale parfaite et aboutie.
Mais Ben314 et bolza, ne veulent absolument pas entendre parler des ces stades et de ces étapes intermédiaires, très informelles :
Ils ne veulent que la formalisation finale.
Matheux philosophe a écrit:bolza a écrit:Je trace une droite pour représenter les réels.
Question : Où places-tu le 0 sur la droite ?
Tu choisis par convention, un point arbitraire de la droite, et tu t'y tiens.
Matheux philosophe a écrit:
Je crois que ma théorie règle ce genre de problème :
Puisque, dans celle-ci , on a :![]()
et![]()
et
bolza a écrit:et j'ai aussi envie de te demander, aller juste pour voir avec des mots,ça veut dire quoi ?
Matheux philosophe a écrit:
Dans ma théorie, on a :
bolza a écrit:1) il dit qu'il voit pas le rapport.
bolza a écrit:1) il dit qu'il voit pas le rapport.
bolza a écrit:Matheux philosophe a écrit:bolza a écrit:Je trace une droite pour représenter les réels.
Question : Où places-tu le 0 sur la droite ?
Tu choisis par convention, un point arbitraire de la droite, et tu t'y tiens.
Donc je prend mon crayon bleu, je marque un point que je choisi et que je vais noté 0.
Je prend mon crayon rouge, et je place un point à droite du point bleu.
Soit A l'ensemble des points de la droite qui sont à gauche du point bleu.
Soit B l'ensemble des points de la droite qui sont à gauche du point rouge.
On a :
a) "cardinal(A)"= "cardinal()" car par convention le point bleu est 0.
b) "cardinal(A) < cardinal(B)" car A est strictement inclus dans B.
et donc en particulier "cardinal(B)" est différent de "cardinal()".
Maintenant comme annoncer précédemment, le fait que le point bleu représente le 0 est un choix
complètement arbitraire. Autrement dit, j'aurais très bien pu décidé que le point rouge représente 0.
et dans ce cas on a :
c) "cardinal(B)"= "cardinal()" (par convention).
Ce qui contredit totalement le b).
Tu remarquera que les ensembles A et B sont défini indépendamment de la convention choisis.
Et que dans les deux cas on trouve des résultats différents pour "cardinal(B)".
Il y a donc un souci.
Matheux philosophe a écrit:bolza a écrit:bolza a écrit:1) il dit qu'il voit pas le rapport.
Le raisonnement que tu as fait, est tout simplement faux.
L'origine qu'on se fixe au départ, a une importance cruciale.
Une fois l'origine choisie fixée, on ne peut pas en choisir une autre arbitrairement (comme si de rien n'était)
Donc, je me suis trompé, aussi.
bolza a écrit:P.S : Tu peux retrouver le même problème différemment :
Si deux ensembles superposables ont même "cardinal" alors ça implique que toutes
les demi droites ont même "cardinal"(*). Ce qui est en contradiction avec le fait que A strictement inclus B -> "cardinal(A) < cardinal(B)".
(*) car toutes les demi-droites sont superposables.
Matheux philosophe a écrit:Dans ma théorie, toutes les distances infinies, ne se valent pas.
Donc, ma théorie dépend du repère choisi :
C'est la seule concession à faire.
Non, je suis convaincu qu'il existe bien une manière de le faire.
Matheux philosophe a écrit:
Dans ma théorie, 2 "demi-droites", ne sont pas forcément superposables :
Une "demi-droite" particulière peut être strictement plus courte qu'une autre :
Matheux philosophe a écrit:Tu pense sérieusement qu'une théorie où un simple changement de répère modifie le "cardinal"
de tes ensembles puissent être une théorie cohérente où même viable ?
Oui, tout à fait :
Un changement de repère ne peut modifier que le cardinal quantitatif des ensembles non bornés, pas celui des ensembles bornés.
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 5 invités
Tu pars déja ?
Identification
Pas encore inscrit ?
Ou identifiez-vous :