Voila j'ai un commentaire a rendre j'suis en premiere es et je ne trouve pas quoi mettre ne premiere partie et en deuxieme partie
J'ai pensé a "une inquietude inabituelle" dans une des deux parties..
Voici le texte un peu long je suis desolée
"Mon plaisir saccrut encore quand je commençai à distinguer derrière ce rideau baissé des bruits confus comme on en entend sous la coquille dun uf quand le poussin va sortir, qui bientôt grandirent, et tout à coup, de ce monde impénétrable à notre regard, mais qui nous voyait du sien, sadressèrent indubitablement à nous sous la forme impérieuse de trois coups aussi émouvants que des signaux venus de la planète Mars. Et, ce rideau une fois levé, quand sur la scène une table à écrire et une cheminée assez ordinaires, dailleurs, signifièrent que les personnages qui allaient entrer seraient, non pas des acteurs venus pour réciter comme jen avais vus une fois en soirée, mais des hommes en train de vivre chez eux un jour de leur vie dans laquelle je pénétrais par effraction sans quils pussent me voir mon plaisir continua de durer; il fut interrompu par une courte inquiétude: juste comme je dressais loreille avant que commençât la pièce, deux hommes entrèrent sur la scène, bien en colère, puisquils parlaient assez fort pour que dans cette salle où il y avait plus de mille personnes on distinguât toutes leurs paroles, tandis que dans un petit café on est obligé de demander au garçon ce que disent deux individus qui se collettent; mais dans le même instant étonné de voir que le public les entendait sans protester, submergé quil était par un unanime silence sur lequel vint bientôt clapoter un rire ici, un autre là, je compris que ces insolents étaient les acteurs et que la petite pièce, dite lever de rideau, venait de commencer. Elle fut suivie dun entracte si long que les spectateurs revenus à leurs places simpatientaient, tapaient des pieds. Jen étais effrayé; car de même que dans le compte rendu dun procès; quand je lisais quun homme dun noble cur allait venir au mépris de ses intérêts, témoigner en faveur dun innocent, je craignais toujours quon ne fût pas assez gentil pour lui, quon ne lui marquât pas assez de reconnaissance, quon ne le récompensât pas richement, et, quécuré, il se mît du côté de linjustice; de même, assimilant en cela le génie à la vertu, javais peur que la Berma dépitée par les mauvaises façons dun public aussi mal élevé, dans lequel jaurais voulu au contraire quelle pût reconnaître avec satisfaction quelques célébrités au jugement de qui elle eût attaché de limportance ne lui exprimât son mécontentement et son dédain en jouant mal. Et je regardais dun air suppliant ces brutes trépignantes qui allaient briser dans leur fureur limpression fragile et précieuse que jétais venu chercher"
Merci
