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Quand Socrate rencontre Shakespear: discussions littéraires, langues étrangères, histoire ou géographie.
m0tiv4ti0n
Messages: 1
Enregistré le: 17 Déc 2008, 18:12

commentaire

par m0tiv4ti0n » 17 Déc 2008, 18:18

Voila j'ai un commentaire a rendre j'suis en premiere es et je ne trouve pas quoi mettre ne premiere partie et en deuxieme partie
J'ai pensé a "une inquietude inabituelle" dans une des deux parties..

Voici le texte un peu long je suis desolée

"Mon plaisir s’accrut encore quand je commençai à distinguer derrière ce rideau baissé des bruits confus comme on en entend sous la coquille d’un uf quand le poussin va sortir, qui bientôt grandirent, et tout à coup, de ce monde impénétrable à notre regard, mais qui nous voyait du sien, s’adressèrent indubitablement à nous sous la forme impérieuse de trois coups aussi émouvants que des signaux venus de la planète Mars. Et, — ce rideau une fois levé, — quand sur la scène une table à écrire et une cheminée assez ordinaires, d’ailleurs, signifièrent que les personnages qui allaient entrer seraient, non pas des acteurs venus pour réciter comme j’en avais vus une fois en soirée, mais des hommes en train de vivre chez eux un jour de leur vie dans laquelle je pénétrais par effraction sans qu’ils pussent me voir — mon plaisir continua de durer; il fut interrompu par une courte inquiétude: juste comme je dressais l’oreille avant que commençât la pièce, deux hommes entrèrent sur la scène, bien en colère, puisqu’ils parlaient assez fort pour que dans cette salle où il y avait plus de mille personnes on distinguât toutes leurs paroles, tandis que dans un petit café on est obligé de demander au garçon ce que disent deux individus qui se collettent; mais dans le même instant étonné de voir que le public les entendait sans protester, submergé qu’il était par un unanime silence sur lequel vint bientôt clapoter un rire ici, un autre là, je compris que ces insolents étaient les acteurs et que la petite pièce, dite lever de rideau, venait de commencer. Elle fut suivie d’un entr’acte si long que les spectateurs revenus à leurs places s’impatientaient, tapaient des pieds. J’en étais effrayé; car de même que dans le compte rendu d’un procès; quand je lisais qu’un homme d’un noble cur allait venir au mépris de ses intérêts, témoigner en faveur d’un innocent, je craignais toujours qu’on ne fût pas assez gentil pour lui, qu’on ne lui marquât pas assez de reconnaissance, qu’on ne le récompensât pas richement, et, qu’écuré, il se mît du côté de l’injustice; de même, assimilant en cela le génie à la vertu, j’avais peur que la Berma dépitée par les mauvaises façons d’un public aussi mal élevé, — dans lequel j’aurais voulu au contraire qu’elle pût reconnaître avec satisfaction quelques célébrités au jugement de qui elle eût attaché de l’importance — ne lui exprimât son mécontentement et son dédain en jouant mal. Et je regardais d’un air suppliant ces brutes trépignantes qui allaient briser dans leur fureur l’impression fragile et précieuse que j’étais venu chercher"

Merci



Jonathanxy
Membre Relatif
Messages: 140
Enregistré le: 18 Sep 2008, 18:27

par Jonathanxy » 17 Déc 2008, 20:23

Qu'a tu fais ?

 

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