Dans R, c'est pas le cas : X²+1, par exemple, ça marche pas (alors que dans C, c'est (X-i)(X+i), tu peux vérifier en développant)
mathador a écrit:L'origine des complexes est la résolution des équations du 3ème degré (Bombelli, je crois : au lieu de s'arrêter quand il tombait sur "racine de -1", il a poursuivi les calculs, et constaté que les résultats fonctionnaient
chimomo a écrit:R² est alors muni d'une strcture de corps, le neutre additif est (0,0) et le neutre multiplicatif (1,0). C'est aussi un espace vectoriel. Une base en est ((1,0),(0,1)). Si on note 1=(1,0) et i=(0,1), tout élément de R² s'écrit (a,b) = a +i.b.
On remarque alors que i² = (0,1).(0,1) = (-1,0) = -1.
Voilà donc notre fameux i.
nada-top a écrit:pourquoi on note précisemment i = (0,1) :hein:
Tu n'as pas dû comprendre ce qu'a dit Chimomo (sur la construction des complexes
donc j'ai confondu les choses .1=(1,0) et i=(0,1)
je vais chercher ça et je te poserai qq questions si je comprends pas toujours (si tu le permet biensur)....mais la question qui me tente maintenant c'est quoi l'interprétation géométrique de ce i , par exemple si \sqrt{2} : diagonale du carré de coté 1 ; le i représente quoi ???
sdec25 a écrit: pas de problème si tu as des questions
Sdec25 a écrit:Alors j c'est une racine cubique de 1, tu peux le vérifier en calculant j^3
Un nombre complexe s'écrit sous la formeavec comme interprétation graphique pour le point A :
m=OA (module) et
Soit, on voit bien que
n'oublie pas :ptdr:Scdec25 a écrit:si tu as des questions pas de problème :happy3:
Hum! A ceci près que multiplier par i est une rotation de 90° et multiplié encore par i de 180°.Chimomo a écrit:Une autre remarque géométrique intéressante, multiplier un complexe par i revient à faire une rotation de 45° dans le plan.
On observe évidemment que multiplier deux fois par i revient à faire une rotation de 90° donc à multiplier par -1.
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