Ben314 a écrit:Salut,
- Si tu cherche la définition dans ton cours de "bien ordonné", ça te donne quasi directement la réponse à la première question (existence de s(x)).
- Toujours en regardant la définition de "bien ordonné" et en voyant que cela implique "totalement ordonné", ça te vend que, si x est différent de y alors x<y (ou le contraire) et on montre façilemen que ça implique s(x)<s(y) (ou le contraire) : donc c'est plié en ce qui concerne l'injectivité.
- Concernant la surjectivité, il te suffit de prendre comme exemple le plus connu des ensembles qui muni de la relation d'ordre usuelle est bien ordonné.
- "Que peut-on dire de E si l'image de E pas s est privé d'un élément ?" je comprend pas la phrase.
estellepierre a écrit:Oui il me semble que c'est bien les mots de longueur quelconque.
En complément à cette question ma prof nous avait donné cet indice (qui je l'avoue ne m'aide pas trop) : "Soient m1 et m2 deux mots, si m1 est un préfixe de m2, alors m1m2"
estellepierre a écrit:Bonsoir !
Un petite question en plus pour laquelle je ne suis pas sûre...
"Donnez un exemple d'ensemble bien ordonné qui admet un plus grand élément, et un qui n'en admet pas."
Est ce que si pour la première partie je mets l'intervalle fermé (1;100) et pour la deuxième partie l'intervalle ouvert (1;100( cela fonctionne ?
Ben314 a écrit:Et si tu veut faire vicieux pour l'ensemble bien ordonné AVEC plus grand élément, tu peut prendreauquel tu ajoute un nouvel élément que l'on va noter par exemple
et tu muni ton nouvel ensemble
d'une relation d'ordre en prenant la relation usuelle entre deux entiers et en rajoutant la définition
pour tout entier
.
Clairement cet ensemble admet un plus grand élément, mais il reste à vérifier que la relationsur cet ensemble est bien une relation d'ordre et qu'elle définie un bon ordre (pas dur du tout, mais il faut l'écrire)
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