charif a écrit:bonjour:
merci pour les réponses ..
j'ai trouvé l'erreur ....
j'ai écrit la relation fondamentale de la statique pour un fluide homogéne :
p +rho*gz =cst , et j'ai procedé comme suit ; quelque soit z différent de
zero d'aprés l'équation on aura :rho = -p/gz + cst/gz ...............cad que rho
dépend de z ....
donc on peut calculer la différentielle etc.....
mais on a p dépend aussi de z donc la constante se simplifié...
merci a tous..
Bonjour,
Ce que je trouve curieux dans ta démarche, ce que tu abordes ce problème de physique comme un problème de mathématique pure. Tu ne tiens pas compte, me semble-t-il, de la signification physique de cette équation!
En particulier, la masse volumique rho est une constante qui dépend de la température pour l'essentiel. Pour un liquide, elle peut dépendre de la pression, mais dans des conditions très particulières (le liquide doit être compressible, ce qui est très rare dans les domaines de pression usuels!) . Et en l'espèce, la masse volumique de l'eau a des comportements un peu étranges dans des conditions extrèmes.
Dans les conditions où ton prof t'a présenté la relation fondamentale de l'hydrostatique, il t'a certainement dit que rho était constante (liquide incompressible,gradient de température nul). Et lorsqu'on introduit cette relation, on considère la variation de p en fonction de z et de x (dans un repère xOz) et l'on constate que pour un z donné, la variation sur Ox est nulle (c'est une courbe isobare). Donc on en conclut que le gradient de pression ne dépend que de la variable z.
Je me demande donc pour quelle raison, moyennant ces hypothèses, tu cherches une relation entre rho et z ? Une équation de physique ne s'étudie pas tout à fait comme une équation en mathématique!
Comme en math, on commence par définir l'espace de validité de l'équation puis on élimine les solutions singulières, mais enes demandant si les singularités ont un sens physique ou bien si elles relèvent d'une caractéristique du modèle mathématique.
Puis, on élimine les solutions qui existent mathématiquement mais qui n'ont pas de sens physique (les longueurs négatives, les temps négatifs, etc...). Généralement, les arguments de symétrie sont nos alliés dans ce domaine.
Et enfin, on vérifie que les conditions initiales et aux frontrières sont bien compatibles avec les hypothèses physiques faites.
Je ne suis pas persuadé que ce soit ta démarche, bien que je sois certain que ce soit celle que ton prof de physique t'a indiqué...