ev85 a écrit:Mouais, regarde le coefficient dominant d'abord.
Pour chaque cas ? c-à-d deg P = 2, 1 et 0 ?
Skullkid a écrit:L'exponentielle n'est pas un polynôme (un polynôme a un nombre fini de coefficients, ce qui n'est pas forcément le cas pour une série entière), le noyau de ton endomorphisme est bien réduit à 0. Au passage, il est impossible, dans le cas présent, qu'un noyau ne contienne que deux éléments (les noyaux sont des espaces vectoriels).
Tu n'as pas besoin de donner une valeur numérique au degré, regarde juste les coefficients/monômes dominants. Si ça te simplifie la tâche tu peux appeler d le degré de P (en supposant qu'il est non nul).
Skullkid a écrit:Non, le monôme dominant de P(X)P(X+1) c'est bienmais celui de P(X²) c'est
. Qu'en déduis-tu sur a ?
Ensuite tu peux soit continuer en faisant une identification des coefficients en distinguant degré 0, 1 et 2, mais ce serait dommage (à ce moment-là autant faire l'identification dès le début et c'est pas vraiment la peine de raisonner sur les monômes dominants), ou alors tu gardes l'info en mémoire et tu reviens sur ta réflexion sur les racines :
Si P admet une racine r, r² et (r-1)² sont aussi racines de P. Qu'est-ce que ça implique sur les valeurs possibles de r ?
Dinozzo13 a écrit:Qu'entends-tu par récines éventuelles ?
Dejà, j'ai établis que si r est racine de P alors r² et (r-1)² le sont aussi.
Par conséquent, si r² est racine de P alorset (r²-1)² le sont aussi tout comme
et ((r-1)²-1)² non ? Et ainsi de suite ...
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