pusep a écrit:Merci beaucoup!!
de rien.
On considère le triangle de Pascal, vaste sujet d'étude et de rêverie depuis Blaise.
On complète par des zéros au dessus de la diagonale de "1" et à droite.
Ce triangle de Pascal, en fait ce quart de plan à coordonnées entières (k,n),
est traversé par de nombreuses applications linéaires, un peu à la
manière,toutes proportions gardées, dont l'espace euclidien est soumis aux endomorphismes.
En autres applications linéaires ou "formules":
i)
on considère l'opérateur de dérivation D sur l'espace des suites à coefficients entiers.
)
défini par:

D est linéaire et envoie la colonne

du tableau
sur

car la formule entre coefficients binomiaux
-(_k^{n})=(_{k-1}^n))
se réécrit
Comme on "dérive" pour passer d'une colonne l'autre, on va donc "primitiver"
on écrit l'opérateur
)
défini par:

(i) d\mu(i))
soit
(i) d\mu(i))
où

est la mesure de comptage.
Bon, y a un truk qui ne marche pas bien, c'est qu'on intégre
de 0 à (n-1) la suite
)
et on évalue une primitive

entre 0 et n. :hum:
il y a un effet de bord.
autre morphisme concernant les lignes

si on pose
^n)
on a les formules



et donc les applications

vérifiant la composition

partitionnent l'ensemble des lignes selon des orbites ??
Sont-ce les morphismes de Frobénius ?
L'idée, puisque les lignes du tableau correspondent à des polynômes,
c'est d'obtenir les colonnes (infinies) sous forme de séries génératrices
de manière à symétriser le problème.
Il y a donc des relations entre les exposants des binômes
et leurs coefficients de polynômes, via des opérateurs linéaires.
Le souçi, c'est que les morphismes

n'ont pas l'air inversibles. :hum: sauf peut être si les coefficients des binômes sont choisis
dans des corps de nombres adéquats.
Quand aux colonnes

du triangle, vû comme une suite de coefficients "verticaux", elles vérifient une formule de récurrence linéaire d'ordre k, obtenue par les différences divisées, qui les font apparaitre comme vecteurs du noyau d'applications linéaires.
On peut peut être (ré)obtenir des formules en considérant une base
naturelle de ces noyaux.
En tous cas, le but serait d'obtenir:
i) des formules de calcul symbolique
ii) ptet l'écriture en base q
)
des coefficients binômiaux.