Bonjour,
J'ai un peu de mal à démarrer l'exercice suivant, pourriez-vous m'orienter svp.
2) Déterminer les valeurs de n pour lesquelles le reste de la division de 3n²+5n+10 par (n+2) est 12
3) Déterminer pour les valeurs n différentes de celles trouvées précédemment le reste de la division de 3n²+5n+10 par +2. (on privilégiera l'emploi d'un algorithme)
Nabuchodonosor a écrit:Pour répondre à "mathelot" en faisant la division euclidienne de : 3n²+5n+10 par (n+2) j'ai comme résultat (3n-1) avec un reste de +12.
Mais que faire de ce résultat pour "Déterminer les valeurs de n pour lesquelles le reste de la division de 3n²+5n+10 par (n+2) est 12"
oui, tu as 3n²+5n+10=(n+2)(3n-1)+12 si 1210[/COLOR]), alors 12 est bien le reste. si 12>=n+2 alors 12 ne peut pas être le reste; il serait plus grand que le diviseur (n+2)
chan79 a écrit:oui, tu as 3n²+5n+10=(n+2)(3n-1)+12 si 1210[/COLOR]), alors 12 est bien le reste. si 12>=n+2 alors 12 ne peut pas être le reste; il serait plus grand que le diviseur (n+2)
c'est un exemple où il est intéressant de connaître la différence entre une division et la division euclidienne
l'écriture n = pq + r est une division de n par p
et elle n'est la division euclidienne de n par p que si 0 = p divise r
:zen:
Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. EUCLIDE
Je me permet une remarque, tu constate alors que la fraction rationnelle :
peut d'écrire plus simplement
En pratique c'est très très utile, et ça s'appel la "division euclidienne des polynome", mais c'est totalement hors-programme, bien que très souvent utiliser de façon caché dans des exercice d'étude de fonction.
Mikihisa a écrit:Je me permet une remarque, tu constate alors que la fraction rationnelle :
peut d'écrire plus simplement
En pratique c'est très très utile, et ça s'appel la "division euclidienne des polynome", mais c'est totalement hors-programme, bien que très souvent utiliser de façon caché dans des exercice d'étude de fonction.
3n^2 + 5n + 10 = 5(n + 2) + 3n^2 est une division aussi ... mais ce n'est pas la division euclidienne ... bien sur ....
Ce qui est affirmé sans preuve peut être nié sans preuve. EUCLIDE