ft73 a écrit:reste à savoir si son dégré et ses coeffs sont bien définis !
(je veux dire de manière unique)
farator a écrit:Une majorité des élèves avant la 1re n'est pas intéressée par les maths. A quoi bon les dégoûter encore plus ?
Les études supérieures sont là pour apprendre véritablement ce qui nous intéresse et qu'on veut garder pendant longtemps.
Le lycée sert à mon avis à faire ce choix là, mais il ne doit pas être l'objet d'ingurgitations de cours inutiles. (Non pas que les polynomes soient inutiles, mais pour ce qu'ils serviraient en seconde...)
ffpower a écrit:Je vois pas trop le probleme...Faut montrer que si P(x)=Q(x) pour tout x,alors P et Q ont meme coeff?Quitte a regarder P-Q,ca revient a montrer que si avec ,alors il existe x tel que .Et c est pas bien dur a prouver ca(Soit on dit qu un poly non nul n a qu un nombre fini de racines,soit qu un poly non constant tend vers l infini en l infini,soit autre chose..)
Enfin pour dire que j ai l impression que tu chipotes un peu lol..
abcd22 a écrit:C'est vrai pour toutes les matières, si on raisonne comme ça autant ne rien faire (c'est vrai que c'est déjà ce qui se passe). Ça ne dégoûtera pas les gens que ces matières n'intéressent pas, mais ça ne donnera probablement pas non plus envie à des gens qui auraient été intéressés par des choses plus poussées d'approfondir ces matières.
abcd22 a écrit:Comment choisir ce qu'on veut étudier dans le supérieur (ou la filière qu'on veut faire au lycée) si ce qui est fait au lycée ne donne qu'une vague idée de ce qui est fait dans les mêmes matières dans le supérieur parce qu'on ne veut pas enseigner pour l'intérêt de la connaissance en elle-même mais pour l'utilité à court terme ?
Imod a écrit:Petit cerveau ? Pour une nouvelle notion il faut faire de la place ?
Imod
ft73 a écrit:Ca c'est, à mon avis, le genre de remarque qui fait qu'une bonne partie de la population a en horreur les maths.
ft73 a écrit:J'aimerais bien savoir si certains ici ont fréquenté un collège de ZEP, voire même un collège standard.
Impossible de faire boire un âne qui n'a pas soif : c'est un proverbe que nous devrions méditer, nous les matheux, avant d'ajouter de l'eau dans l'abreuvoir...
farator a écrit:Première remarque :
La capacité d'apprentissage décuple avec l'envie.
Dans l'idéal on devrait pouvoir mettre les prgrammes qu'on veut, à condition que la pédagogie suive.
Deuxième remarque :
Anima tu écris à chaque fois "quand t'y pense" en oubliant le s à pense :p
anima a écrit:Du genre, j'ai un recueil de physique de lycee juste apres la revolution francaise, et crois-moi, c'est plein de maths. Surement plus que maintenant, et ils n'avaient pas droit a la calculette, eux!
ft73 a écrit:À cette époque, même révolutionnaire, le lycée concernait quelle proportion des jeunes ?
Bref, je ne vois pas pourquoi on oppose ici le contenu et l'envie. Je pense simplement que l'un des plus grands défis de l'enseignement des maths, c'est d'en faire une matière attractive sans dilapider les contenus.
Certains raillent la déflation des contenus. Pourquoi donc ? C'est logique, nous sommes dans une phase de décadence de l'effort. Ce n'est qu'après avoir résolu ce problème qu'on pourra voir la suite.
Et certains ici, épargnez-nous svp les remarques un poil égocentriques, considérant que, puisque VOUS y arrivez, tout le monde peut le faire. C'est bon on a compris que vous êtes forts.
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