Les grands esprits se rencontrent...
mathador a écrit:1. ce que j'aime dans les maths, c'est que les autres n'aiment en général pas, et comme je n'aime en général pas les autres, je me retrouve?
J'aurais presque pu dire cela moi-même. C'est vrai que je n'aime pas "les autres" ! Serions-nous tous misanthropes
mathador a écrit:2. l'exactitude, et l'objectivité que cela entraîne : même un contemporain de Pythagore qui l'aurait détesté n'aurait pas pu dire que son théorème est faux...
Moi j'aurais pu dire, parce que je l'ai pensé tant de fois : Même si une autre civilisation existe (ce dont je suis convaincu) dans l'univers, qui a 100 millions d'années d'avance ou de retard sur nous, lorsqu'ils ont calculé (ou calculeront) pi, ils ont trouvé (ou trouveront) les mêmes chiffres pour le premier milliard de décimales... N'est-ce pas fascinant ?
mathador a écrit:3.
... quand même; ça en bouche un coin ! !
Ouais collègue, chaque fois que j'y pense, mon coin est toujours bouché
mathador a écrit:4. j'ai décidé de développer l'hémisphère gauche (pure rancune envers les neurones fautifs)
En toute modestie, ce n'est pas moi qui ai décidé de ne pas développer mon hémisphère droit. Ce sont mes neurones qui ont décidé cela, unilatéralement.! Moi, je n'ai été que le jouet de leurs caprices. Et parfois je me dis qu'ils auraient pu faire un peu plus d'effort sur l'hémisphère gauche. Quand même, ils avaient le temps...Mais bon !
mathador a écrit:5. Les mathématiques rendent de précieux services aux gens, qui ne s'en rendent pas toujours compte. C'est tout moi, ça : j'aide toute le monde, mais je reste dans l'ombre, par humilité ...
!
Ben c'est vrai, mais parfois c'est le contraire. Les mathématiques jouissent d'un tel prestige (à tort ou à raison) que parfois "les gens" attribuent certains "services" aux mathématiques qui n'y sont pour rien, mais moi, je laisse dire...