Schéma général de résolution, en commençant par la lecture critique de l'énoncé :
Première abstraction : du problème formulé par le client, vers une schématisation des phrases dénoncé, lécriture dun dictionnaire des variables et de leurs symboles (que ce dictionnaire ait une, deux ou dix entrées) et la transcription par la pose dun système déquations.
· Seconde abstraction, quand la vérification dimensionnelle est terminée et ne révèle plus derreurs, alors résoudre le sous-système numérique, par les méthodes algébriques.
· Seconde désabstraction : restituer les unités physiques, pour répondre en grandeurs physiques au problème physique.
· Première désabstraction : répondre dans le langage du client, dans des termes qui lui sont accessibles, et qui répondent à son problème.
Hé bien, un inspecteur réel, dans un lycée réel, devant les deux flèches du bas, de retour au problème réel, les vivait comme autant dinsultes, dont il a tiré vengeance (1996).
http://lavaujac.club.fr/je_fais1.htm#_Toc48282455Si je devais refaire ce schéma de nos jours, je remplacerais probablement "
Chaque proposition doit donner une équation", par "Chaque prédicat...". Mais cela m'obligerait à expliquer cette notion de linguistique générale, préciser que certains prédicats sont incarnés non par une proposition (grammaticale) complète, mais par un adjectif ou un adverbe.
Je n'ai rien inventé, j'ai juste repris un article de génie logiciel, qui expliquait comment traduire un cahier des charges avec une fiablilité industrielle.