à un moment donné , j'étudiais (sans succès) les digits (base 2) de
J'avais cherché une courbe d'une fonction strictement croissante continue f
avec f(0)=0,f(1)=1 , telle que
de manière que la contribution des digits égaux à 1 du dévelopement dyadique de
l'aire sous la courbe de f, et la contribution des digits égaux à 0 ait pour mesure l'aire au dessus de la courbe de f.
En effet , la courbe de f détermine deux domaines du carré [0;1]x[0;1]
d'aires
Ce qui fait que dynamiquement, la courbe de f semble "choisir" dans sa trajectoire, les digits de
finalement, je suis tombé sur:
L'intégrande se primitive, mais avec une primitive bizarroïde
admettant un prolongement par continuité en
d'ailleurs , le fameux théorème
n'interdit pas qu'une primitive F soit définie par prolongement par continuité
en x=b.
si on regarde attentivement la limite en
on voit que la tangente devient infinie avec un coeff
je me demandais ce que signifiait ce comportement.
J'en ai conjecturé que les digits en base 2 de
Que faut-il en penser de cette limite,dans un tel contexte?
et dispose-t-on de statistiques sur les digits, base 2, de
et ceux de
