De la discrétion des Centres de Recherche ...
Discussion générale entre passionnés et amateurs de mathématiques sur des sujets mathématiques variés
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upium666
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par upium666 » 07 Mai 2013, 20:39
Bonjour à tous et à toutes !
Les Centres de Recherche sont bien discrets dis-donc !
Que s'y cache-t-il ?
Que s'y mijote-t-il ?
En Mathématiques plus spécialement :
Quelles sont les activités entreprises dans les grands centres de Recherche dans le monde ? (CNRS ...)
(Exemples ?)
Et en Mathématiques Pures ? (D'ailleurs, on en entend beaucoup moins parler que les Mathématiques appliquées ... La Beauté des Mathématiques toucherait-t-elle à ... :doh: ... sa fin ? :hum: :triste: )
Merci :we:
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Dlzlogic
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par Dlzlogic » 07 Mai 2013, 21:12
Bonsoir,
D'après mes contacts il s'agit beaucoup plus, voire essentiellement de mathématiques appliquées.
Il serait intéressant de savoir le but de votre question.
En fait, il se trouve que les mathématiques appliquées n'intéressent pas grand-monde, c'est peut pour cela qu'on en entend moins parler.
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Sylviel
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par Sylviel » 07 Mai 2013, 21:42
Oh non on est très loin d'avoir fait le tour des mathématiques. Le directeur de l'IHP Cédric Villani (médaille Fields) s'est lancé dans une grande entreprise de médiatisation des mathématiques pour faire comprendre que ce n'est pas une science morte et que la recherche y est très active.
C'est difficile de répondre à la question "à quoi travaille les mathématiciens" car il y a de l'activité dans tous les domaines que ce soit dans des choses très appliquées, très numériques, ou dans des choses très théoriques. Que ce soit sur de vieux problèmes qui résiste encore (voir les prix Clay) ou sur de nouveaux domaine récemment créé. Que ce soit sur des sujets issu des maths uniquement (topologie algébrique) ou en lien avec des problématiques plus pratique, même si la théorie devient en elle même digne d'intérêt (analyse fonctionnelle par exemple ou encore l'étude des EDP).
On en entend peu parler principalement parce que c'est difficile à médiatiser. La preuve d'un vieux théorème (enfin d'une conjecture plutpt) fait moins rêver le grand public que la découverte potentielle d'une particule allant plus vite que la lumière.
Quant à comparer la quantité de maths pure par rapport aux maths appliqués cela me semble un exercice périlleux. Ce qui est certain c'est que le monde de l'entreprise à plus besoin de mathématiques appliquées que de maths pures (encore que l'on passe continuement de l'un à l'autre). Maintenant je doute que quelqu'un puisse catégoriquement dire "il y a plus de ceci" ou plus de cela. Ou alors que l'on me montre des chiffres derrière les affirmations...
Merci de répondre aux questions posées, ce sont des indications pour vous aider à résoudre vos exercices.
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