mehdi-128 a écrit:En effet votre exemple est parlant
Du coup on a :
(1)
(2)
On prend :
la relation 2 devient :
J'ai donc : pour
il existe un rang n tel que :
Donc
C'est bon ?
Pas encore bon selon moi... Il me semble qu'il y a un problème d'ordre des quantificateurs par rapport à ce que toi tu cherches à dire. Tu dis que:
1) pour chaque entier n, il existe donc un N>n pour lequel u(n)=u(n+1)
(Mais déjà là c'est flou: tu dis que pour tout n on a u(n+1)=u(n) alors que le N qui existe n'est utilisé nulle part? Au mieux ça devrait être u(N)=u(N+1)...
2) Pour chaque entier m il existe un rang n tel que u(n)=0.
Donc si on remplace par des exemples (au pif pas en lien avec l'exemple du haut) tu dis:
1) Pour n=4 il existe un rang (par exemple N=8)
tel que u(4)=u(5). Tu vois bien que c'est pas très cohèrent?
2) Pour n= 9, il existe un rang qui dépend de 9 genre 19 tel que u(19)=0. (Ok et...?).
Si tu corriges les trucs ci-dessus je pense qu'on aurait un énoncé plus compliqué que ce que tu veux montrer...
Pourquoi ne pas essayer de donner un exemple de suites qui décrive ta pensée (constante à partir d'un certain rang N1 et s'annulant en un rang N2 > N1).
Les rangs N1 et N2 existent au moment où on définirait la suite. Ils existent de manière globale.
On aurait alors:
Il existe N1 tel que pour tout entier n>N1, u(n)=u(n+1)
Il existe N2 > N1 tel que u(N2)=0.