beagle a écrit:de prime abord
x²+x+1 = 0 j'ai pas de solution pour x réel
beagle a écrit:et lorsque l'on passe à x^3 ton égalité admet déjà x=0 comme solution
première arnaque
beagle a écrit:ensuite faut voir pourquoi en solution de complexes on -racine cubique de -1,
et que justement tu nous la joue sur le 1 en puissance 3
beagle a écrit:Bon alors lorsqu'on multiplie par x,
comme il n' ya pas de x existant on ne devrait pas pouvoir multiplier par x qui n'existe pas.
beagle a écrit:s'il existe un x solution, alors je peux multiplier par x,
si x solution existe , je trouve x=1
or 1 n'est pas solution puisque amène 1 +1 +1 = 0
condradiction avec il existe un x
donc il n'existe pas de x solution
beagle a écrit:L'interdiction d'utiliser l'implique dans les démonstrations vient du fait que l'implication est vraie lorsque p est faux.
...
Donc de mon temps, l'utilisation au collège, au lycée de l'implication se faisait en prenant pour admis que p était vrai,
on ne faisait que du si p vrai, j'ai ou j'ai pas q?
Avec l'utilisation "normale" des logiciens de l'implique il faudrait préciser
Si p alors q et j'ai p vrai.
Pseuda a écrit:Je trouve que c'est du purisme qui embrouille plus que cela ne résoud de problème. Ou alors, il faudrait un autre terme qui signifie à la fois "p est vraie et p implique q". Mais comme la plupart du temps, quand on énonce une proposition, c'est sous-entendue qu'elle est vraie, comment faire le distinguo ? Par contre, dans p<=>q, le problème ne se pose pas, on ne suppose ni p ni q vraie ou fausse, en effet.
hdci a écrit:Une démonstration rédigée de façon 100% formelle est forcément valide et un ordinateur peut le vérifier (il me semble que c'est ce que fait le logiciel COQ, mais je ne le connais pas).
Par contre, une telle démonstration (sauf dans des cas relativement simple) est rapidement illisible et c'est bien la rédaction claire et l'esprit humain comprenant le raisonnement et les "sous-entendus" qui peut en décider.
Pseuda a écrit:@hdci Ce que je veux dire par là avec le implique, c'est que quand on énonce une proposition "P", c'est sous-entendu qu'elle est vraie.
Mais quand on énonce la phrase P=>Q, c'est sous-entendue qu'elle est vraie, mais on a énoncé "P" dans cette phrase, mais là, on ne suppose plus que P est vraie. Comment faire la distinction ?
Pseuda a écrit:Il me semble que si on a pu formaliser à 100% une démonstration, c'est que le problème de sa validité ne se pose plus. Autrement dit, j'ai l'impression que ça va dans le sens : la démonstration est valide => on peut la formaliser à 100%, et non pas dans le sens : la démonstration est formalisée à 100% => elle est valide.
Je demande à voir quand même une telle démonstration.
Pseuda a écrit:Sinon pour le implique dans P=>Q au sens logique, je le vois surtout (et il doit certainement venir de là) comme la négation de : P est vraie et Q est fausse. Cela donne : P est fausse ou Q est vraie, soit : non P ou Q.
Pseuda a écrit:@hdci A propos des ensembles vides. On considère 2 ensembles A et B, et P(A), P(B), les ensembles de leurs parties. L'ensemble vide est une partie de A comme de B. Question (que je me pose depuis longtemps) : l'ensemble vide partie de A est-il le même (ou non) que l'ensemble vide partie de B ? J'imagine que cette question n'est pas nouvelle.
Pseuda a écrit:Mais j'auraid plutôt vu ça écrit comme ça :
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