Si je comprends bien l’équivalence ne serait pas un bon choix pour ce cas d 'étude, car à partir de
La seule possibilité pour ce cas c 'est l'implication ou sinon on choisit de jolie mot comme vous l'avez fait.
Ce type de truc, si tu tient vraiment à le rédiger avec des implication/équivalence alors ce qu'il faut dire, c'est que :fastandmaths a écrit:Montrer quepour tout les
positif non nul
à, à mon sens, tu chipotte et c'est plus au niveau du Français que "ça fait pas beau" qu'au niveau mathématique vu que :beagle a écrit:C'est complètement dingue mais un type comme Robot qui aurait pu me donner des cours de maths jusque la fin de ma vie ne comprenait pas que j'étais une génération où
on pouvait écrire:
soit x appartenant à IR, si x sup 1 alors x² patati
alors que personne n'aurait compris au lycée l'écriture:
pour tout x appartenant à IR, si x sup à 1 alors …
de sorte qu'on ne pouvait pas embarquer dans l'implication du faux alors B
on utilisait toujours du si A vrai alors …
pour tout x si x sup 1 était charabiesque.
Pseuda a écrit:Tout cela pour dire que ce n'est pas un formalisme excessif et des règles appliquées consciencieusement qui font qu'une démonstration peut être décrétée valide, mais c'est le seul esprit humain (et pas une machine) qui peut en décider (ou non).
beagle a écrit:Pour le dire autrement, sans connaitre l'implique des logiciens avec p faux donne p implique q vrai,
avec les connaissances = l'utilisation du lycée que j'avais apprise:
pour tout x de IR
si (x+1) positif alors q
perso j'aurais répondu, NON,
il existe x = -2 pour lequel x+1 positif n'a pas de sens, donc l'implication n'existe pas.
beagle a écrit:et pour l'ordinateur if A then B ,...then E
certainement plus facile à programmer que le sens implique des logiciens.
hdci a écrit:beagle a écrit:Pour le dire autrement, sans connaitre l'implique des logiciens avec p faux donne p implique q vrai,
avec les connaissances = l'utilisation du lycée que j'avais apprise:
pour tout x de IR
si (x+1) positif alors q
perso j'aurais répondu, NON,
il existe x = -2 pour lequel x+1 positif n'a pas de sens, donc l'implication n'existe pas.
"il existe x : x=-2" pour lequel x+1 positif n'a pas de sens" n'est pas correct : la phrase correcte est "x+1 positif" est faux".
Un exemple "concret" de "FAUX implique FAUX" utilisé dans la "vie de tous les jours par tout le monde et compris par tout le monde (donc un "raisonnement correct") : quelqu'un vous raconte une belle ânerie (par exemple, je vous dit "je suis allé hier sur la planète mars"), et vous répondez "c'est ça, et moi je suis le pape".
Vous avez exactement fait le raisonnement correct "A implique B" : A ("vous êtes allé sur mars") implique B ("je suis le pape") ; comme le raisonnement est correct, et que la conclusion est manifestement fausse, c'est que l'hypothèse ne peut pas être vraie.
Par ce type de raisonnement vous dites exactement que vous ne croyez pas un mot de la belle ânerie "hier je suis allé sur mars"
Il n'est nul question d'avoir du sens ou non, mais simplement question de proposition vraie ou fausse.
beagle a écrit:La question est oui ou non il y avait au lycée un usage de l'implication qui n'utilisait QUE le p vrai sans avoir a dire p vrai.
hdci a écrit:beagle a écrit:La question est oui ou non il y avait au lycée un usage de l'implication qui n'utilisait QUE le p vrai sans avoir a dire p vrai.
J'étais en seconde C en 1979, et la première (ou les deux premières) semaine(s) étaient consacrées à de la logique élémentaire.
Nous faisions alors des tables de vérité et la table de vérité de A=>B était vraie sauf quand A faux et B vrai.
Puis on a appris qu'un raisonnement en math était une proposition "toujours vraie".
Donc montrer le théorème "A=>B" signifiait "montrer que A=>B est une proposition vraie", ce qui sous-entendait "si A est vrai alors B est vrai, sinon on ne sait rien dire de B"
Au-delà de ça, je le présente à mes élèves sous cette forme : A=>B est identique à "Si A est vrai alors B est vrai et si A est faux on ne sait rien dire de B" et je le présente d'abord avec l'exemple "s'il pleut c'est qu'il y a des nuages", puis avec l'exemple
beagle a écrit:allez , encore une pour la route,
vanne ou provoc:
A vrai donc B vrai donne des infos sur B
A faux, ne donne aucune info sur B
Donc apprendre les tables de vérité et le A faux c'est utile pour ne rien savoir, ne rien apprendre.
Bon désolé, c'est les nerfs j'ai pas résisté..
beagle a écrit:Plus sérieusement avec des tables de vérité au lycée on fait quoi, on apprend quoi, cela sert à quoi.
Là c'est de l'innocence pure.
beagle a écrit:Si tu bosses les situations d'équivalence, si tu t'obliges à faire comprendre avec des exemples exos que l'équivalence c'est les deux sens,
ben tu ne fais pas cette erreur, il me semble
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