Skullkid a écrit:Quelques petits détails : tel que tu l'as écrit, ta suite u n'est pas définie, il faudrait par exemple rajouter que u est à termes positifs, ou alors ce qui est probablement écrit dans l'énoncé original : . Le premier terme de v est -ln(2), elle est en effet géométrique de raison 1/2 et converge vers 0. Donc u converge vers 2 comme tu l'as dit.
Pour ce qui est de ta suite t, elle n'est pas constante, elle est arithmético-géométrique () et converge vers ln(2).
capitaine nuggets a écrit:Non : le fait que u soit bien définie n'est pas clairement énoncé, donc j'ai démontré par récurrence que u est à termes strictement positifs.
capitaine nuggets a écrit:Tu peux développer le fait que tn soit arithmético-géométrique : j'aimerais savoir comment tu fais pour obtenir cette relation, parce que je ne vois pas.
Skullkid a écrit:Comment peux-tu démontrer que u est à termes strictement positifs si u n'est pas bien définie ? Je crois que tu n'as pas compris l'objet de ma remarque. Il est au mieux maladroit, au pire incorrect de parler de "la suite u définie sur N par u0 = 1 et " parce que dans ta relation de récurrence, n'est pas défini de manière univoque. Par exemple tu n'as aucun moyen de savoir si u1 vaut sqrt(2) ou -sqrt(2).
Alors certes, on peut considérer qu'il est sous-entendu que tous les termes de u doivent être réels, mais pourquoi laisser cette ambiguïté alors qu'on peut utiliser une relation de récurrence univoque en écrivant (je maintiens que c'est cette forme qui doit être choisie pour que l'énoncé soit bien rédigé) ?
Nightmare a écrit:Hello,
Si ta première suite divergeait vers un infini, elle prendrait un signe constant à partir d'un certain rang, ce qui restreint le comportement de ses sous-suites.
A formaliser.
MacManus a écrit:De toute manière, s'il existait un entier k tel que , alors la suite ne serait pas définie pour tout .
Skullkid a écrit:Nulle part il n'est précisé que la suite est réelle, il est tout à fait possible de définir la suite sur tout N en prenant des termes complexes. Supposer d'emblée qu'on reste dans R sous prétexte que l'énoncé ne dit rien du tout est assez bancal. Si on présente à capitaine nuggets l'énoncé "résoudre x²+x+1 = 0", il va sans doute mentionner les racines non réelles, pourtant les complexes ne sont mentionnés nulle part.
Pour l'exercice sur lequel capitaine nuggets bloque maintenant : ta suite suit une relation de récurrence de la forme u(n+1) = f(un). Tu as dû voir un moyen de calculer les limites de telles suites lorsqu'elles convergent, moyennant des hypothèses sur f.
capitaine nuggets a écrit:
Sinon, j'ai beau chercher, je n'arrive pas à montrer que la limite de est .
Le_chat a écrit: et donc par récurrence, est plus grand que 2n, d'où le résultat.
Le_chat a écrit:Ici, (un) croit , donc admet une limite en l'infini éventuellement infinie. Or x->x+1/x n'a pas de point fixe, donc (un) diverge.
Le_chat a écrit:Ici, (un) croit , donc admet une limite en l'infini éventuellement infinie. Or x->x+1/x n'a pas de point fixe, donc (un) diverge.
Le_chat a écrit: et donc par récurrence, est plus grand que 2n, d'où le résultat.
vincentroumezy a écrit:Salut !
On a u(n+1)²>un²+2.
Donc
etc... Si tu additionnes les n premières relations, qu'obtiens tu ?
capitaine nuggets a écrit:Ah oui, du coup :
donc :+++: merci
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