comme je suis assez basique également,
donc avec un arbre
si on nomme p gagner le premier jeu, q le second, (p le troisième)
et si on nomme wp perdre le premier jeu, wq le second (wp le troisième)
on peut regarder les cas gagnants:
pq
(1-p)(pq)
totale: pq(2-p)
les cas perdants (par symmétrie):
wpwq(2-wp)
le reste (duel nul):
1 - pq(2-p) - wpwq(2-wp)
si on nomme G le gain si je gagne, L pour la loose et N pour nul on peut nommer le gain moyen (en terme de tunes)
E(p,q) = G[pq(2-p)] + L[wpwq(2-wp)] + N[1 - pq(2-p) - wpwq(2-wp)] = (G-N)pq(2-p) + (L-N)wpwq(2-wp) + N
et choisir la stratégie gagnante c'est choisir qui de E(p,q) et E(q,p) est le plus grand, idem
E(p,q) > E(q,p) <=> (G-N)pq(-p+q) + (L-N)wpwq(-wp+wq) > 0
Dans le cas trivial ou seul gagner nous intéresse, idem L==0, N==0 on a
Gqp(-p+q)>0 idem il faut que notre proba de gagner au deuxième jeu soit plus importante que de gagner au premier jeu (indépendamment de l'adversaire...)
On a donc un paradoxe de type (SAUF ERREUR): si je note (w,l,null) ma proba de respectivement gagner, looser, faire nulle sur un jeu:
echec(9,8,_)
go(40,50,_)
=> il faut mettre le go en deuxieme (40>9)
mais
echec(40,50,_)
go(9,8,_)
=> il faut mettre echec en deuxieme(alors que je suis __moins__ fort aux echecs que mon adversaire)
et donc en fait on s'en fout un peu de savoir qu'il est meilleur au go que moi, cqui est important c'est en fait ma propre qualité de jeu
après si on rajoute L-N !=0 bien sûr là, la qualité de mon adversaire rentre en jeu..