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bankaiyassine
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par bankaiyassine » 01 Avr 2007, 12:20
puisque les parties ne sont pas vides
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bankaiyassine
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par bankaiyassine » 01 Avr 2007, 12:29
si onveut p-parties disjointes et formant une partition et en plus non vide on doit d'abord attribuer un elements a chaqune des p-parties .les n-p elements restants auront p poss chacun ce qui fait p^(n-p) poss en tout .buvard
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buzard
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par buzard » 01 Avr 2007, 13:07
bankaiyassine a écrit:pour les p-partitions d'un ensemble a n elements :chaque element de E DOIT SE TROUVER necessairement DANS UNE SEULE DES P-PARTIES CE QUI FAIT QU'on a p possibilites .pour n elements on a p^n .tu vois c plus facile
hum, revoies donc un peu la définition de partitions :

est une partition de E si et seulement si (par définition)
 & \forall i & , & A_i \not = \empty \\<br />(ii) & \forall i,j & , & A_i \cap A_j = \empty \\<br />(iii) & & & A_1 \cup A_2 \cup \ldots \cup A_p = E<br />\end{array})
du coup c'est pas si simple que ça. Il ne faut pas que les parties soient vides.
bonne chance
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bankaiyassine
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par bankaiyassine » 01 Avr 2007, 13:20
si les parties ne sonts pas vides c encore plus simple .on attribue un element a chacune des parties ca fait p possibilites .pouis on pose les n-p elements restants chacun dans une seule parties ca fait p^(n-p) .donc en tout ona p*p^(n-p)...tes satisfait maintenant
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Blueberry
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par Blueberry » 01 Avr 2007, 13:33
Bonjour,
je pense que si on considère les p-uplets de
)
formant une partition d'un ensemble E de cardinal n, cela donne un nombre de possibilités égal à :
Est-ce juste ?
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fahr451
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par fahr451 » 01 Avr 2007, 13:41
s'il y a un ordre sur les classes (ce qui n 'est pas le cas en général)
le nbre de partitions est le nombre S(n,p) de surjections
sinon c'est S(n,p)/p!
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Blueberry
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par Blueberry » 01 Avr 2007, 13:52
Oui mais tu ne comptes pas les partitions ou l'ensemble vide apparaît une ou plusieurs fois ( par exemple pour les triplets formant une partition de E je compterai (

)
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fahr451
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par fahr451 » 01 Avr 2007, 13:54
le vide ne peut etre une classe de partition par definition
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buzard
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par buzard » 01 Avr 2007, 13:56
Blueberry a écrit:Bonjour,
je pense que si on considère les p-uplets de
)
formant une partition d'un ensemble E de cardinal n, cela donne un nombre de possibilités égal à :
Est-ce juste ?
c'est presque ca il y a un principe d'inclusion exclusion que tu a zappé. mais t'es sur la bonne route.
Pour les tricheurs : ce que je vous demande s'appelle les nombres de stirling de seconde espèce. Un bon point pour celui qui arrive à trouver un lien en rapport.
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Blueberry
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par Blueberry » 01 Avr 2007, 13:59
J'aurai dû le savoir puisque les partitions sont associées aux classes d'équivalences et que celles-ci sont non vides.
Merci en tout cas.
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par Blueberry » 01 Avr 2007, 14:09
En fait la réponse est donnée par fahr :
je cite :
''s'il y a un ordre sur les classes (ce qui n 'est pas le cas en général)
le nbre de partitions est le nombre S(n,p) de surjections
sinon c'est S(n,p)/p! ''
Dans une partition d'un ensemble, aucun des éléments de
)
qui interviennent ne peut être égal à l'ensemble vide.
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buzard
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par buzard » 01 Avr 2007, 15:29
c'est exactement ça. pour la clarté de la réponse 10/10 à fahr
par contre pour l'explication de son cheminement 0/10
donc en moyenne 5/10, mention très honorable.
cheminement attendu :
1) bijection avec l'ensemble des relations d'équivalence à p classes sur E
2) quelques indices ou
des liens pour le calcul de S(n,p)
parler de nombre de Stirling, ça fait aussi le celui qui sait et qui a cherché
PS : Chercher = fonction principal du chercheur
PPS: cette remarque est pour ceux qui veulent ce lancer dans la recherche
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buzard
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par buzard » 01 Avr 2007, 16:37
Le [url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Dénombrement]dénombrement[/url] est l'appellation classique des problèmes de comptage.
Cela consiste à trouver le nombre d'élément d'un ensemble finis (donné souvent par intention)
on recense généralement ces quelques techniques :
1) l'énumération explicite (fonction de comptage)
2) la bijection à un ensemble déjà dénombré
3) le calcul par complémentarité
4) découper le problème en plusieurs morceaux (diviser pour régner)
ces techniques sont équivalentes à leur contrepartie axiomatique :
1) le principe d'extensionnalité
2) le principe de substitution
3) et 4) le principe d'inclusion-exclusion
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