par Ben314 » 02 Mai 2015, 12:38
a) La norme on s'en fout pas mal pour raisonner vu qu'elle sont toutes équivalentes sur R^m (donc si tu veut absolument en prendre une, ben... tu prend n'importe laquelle...)
b) Certes, si on prend (1,1,...,1) dans le fameux R^m, ça veut en fait dire qu'on prend d(x_i,x_j)=1 pour tout i différent de j. Mais je suis pas persuadé que ce soit très pertinent d'appeler ça la "distance discrète" vu que, quoi qu'on prenne (de >0) comme distance entre les point, ça fera de toute façon une distance discrète (au sens que toute partie sera à la fois ouverte ou fermée).
Le truc, c'est plutôt de voir que la partie D, elle est définie par des tas d'inégalités toutes de la forme d_ik<=d_ij+d_jk et que si tu prend tout les d_ij "proches" de 1, par exemple tous dans ]2/3,4/3[, toutes les inégalités seront évidement vérifiées. Ça prouve que ]2/3,4/3[^m est contenu dans D et donc que D est d'intérieur non vide (en fait, l'intérieur de D, c'est les m-uplets (dij) tels que toutes les inégalités soient strictes et le premier truc qui m'est venu à l'esprit avec des inégalités strictes partout, c'est de prendre tout les dij égaux à 1 vu que 1<1+1)
Qui n'entend qu'un son n'entend qu'une sonnerie. Signé : Sonfucius