Perso.
LA question que je me pose, c'est de savoir si, dans le même style de débilité profonde, après avoir demandé une "preuve carrée carré" du fait que, dans un ensemble totalement ordonné E (1), toute partie finie non vide admet un maximum, est-ce que le type qui a écrit le bouquin va aussi demander une "preuve carrée carrée" que, dans un ensemble muni d'une loi + commutative et associative (2), la valeur de la somme
de
éléments ne dépend pas de l'ordre des éléments, mais
surtout, ne dépend pas de l'endroit où on met les parenthèses (la loi +, à priori, elle ne s'applique qu'à
deux éléments et pas plus).
Dans le bouquin, il la fait ou pas la preuve "carrée carrée" que dans le cas d'une loi associative la valeur de la composée de
termes ne dépend pas de l'endroit où on met les parenthèses ?
Par exemple, démontre-t-il
proprement quelque part que, si a,b,c,d sont quatre réels, on a (a+b)+(c+d)=a+((b+c)+d) en partant uniquement du fait que x+(y+z)=(x+y)+z ?
Et le fait que pour 3 réels x,y,z, on a x+(y+z)=(x+y)+z, il le démontre proprement quelque part ?
(1) i.e. tel que
(2) i.e. tel que