alben a écrit:Non non c'est bien une bijection de N
Je l'inverse de manière un peu différente de Zebulon (ent=partie entière) :
et x=n-y
Bien sur, ça doit revenir au même mais c'est plus facile à programmer :we:
Imod a écrit:Ces interventions avec toute leur complexité me rappellent l'éblouissement que j'ai eu quand j'ai découvert la théorie des cardinaux et ordinaux "les bijections existent" mais de là à les expliciter ... Q en bijection avec N !!!!
Un gros coup de chapeau à Cantor .
Imod
pedro_cristian a écrit:Je trouve que la bijection entre les nombre rééls non transcendants et N est plus impressionnante. (j'espère que je ne dis pas de connerie..)
yos a écrit:Les algébriques sont en bijection avec les polynômes minimaux à coef entiers dont ils sont racines. Il suffit donc de ranger convenablement ces polynômes.
On peut prendre les polynomes qui vérifient . Ils forment un ensemble fini . Et l'ensemble de ces polynômes est la réunion des , pour M décrivant .
Une réunion dénombrable d'ensembles finis est finie.
Après, cela dépend ce qu'on appelle explicite. Ce qui précède l'est dans la mesure où il est facile d'ordonner chaque . Vouloir une "formule" me semble un peu vain.
alben a écrit:Voilà une démo qui me semble à peu près exhaustive et qui n'est pas très lourde.
alben a écrit:Oui, j'avais vu qu'on n'était pas obligé de se limiter à ]0;1[. En revanche, construire A directement comme partie de Q et non de N me gêne. Je n'ai pas compris pourquoi p est nécessairement > à q
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