Emmanuel a écrit:Soit E un R-espace-vectoriel de dimension finie n>=1 et f un Endomorphisme nilpotent d'indice n. On pose
C(f)={ g € L(E) / g•f=f•g }
1. Montrer que C(f) est un sous espace vectoriel de L(E).
2. Soit a € E tel que f^(n-1)(a) différent de 0. Soit (H)a une application définie par :
(H)a : C(f) -----> E
g -------> (H)a(g)=g(a)
Montrer que (H)a est un isomorphisme de R-espace-vectoriel.
3. Montrer que C(f)=vect (Ide, f, ........ , f^(n-1) ).
C'est une habitude à prendre absolument : avant d'utiliser un symbole (ici la lettre x), préciser à quel ensemble il appartient et son "statut" : soit quelconque (="pour tout x....") ou particulier(="si on prend x=... alors" ou bien "il existe au moins un x tel que...", etc...)Emmanuel a écrit:Soit t: E---->E
x------>0E l'application nulle
on a, pour tout x de E : g•t(x) - t•g(x)= g(t(x)) - t(g(x))= 0 i.e g•t(x) = t•g(x) pour tout x de E donc g•t = t•g et t € C(f).
Emmanuel a écrit:*Soit g € C(f) et lmd €R on a :
f•lmdg = f(lmdg) = lmd f(g) <= Si tu veut avoir le droit d'écrire du f(g) avec des parenthèse, il faut forcément que tu mette un x : f(g(x)). Vu que f c'est une application dont l'ensemble de départ c'est E, f(?) n'a du sens que si ? est dans E.
car f est une app linéaire et de plus f(g)=g(f) car g appartient à C(f) , f•lmdg = lmdg(f)= lmdg•f. Donc lmdg € C(f).
*soit g1 et g2 apprtnt à C(f) on a :
(g1+g2)•f=g1•f + g2•f = f•g1 + f•g2 = f•(g1 + g2) d'où g1 + g2 apprtnt à C(f).
A mon avis, c'est pas con de signaler (de nouveau) que f•g1 + f•g2 = f•(g1 + g2) car f est linéaire (alors que de l'autre coté (g1+g2)•f=g1•f + g2•f n'a rein à voir avec la linéarité de qui que ce soit, c'est juste la définition de la somme de deux fonctions)
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