Bizarre a écrit:Je crois que c'est là que je coince...J'aurais écrit : Le graphe de g c'est {(y,x) de F x E tel que g(y) = x}, mais là je tourne en rond... Comment en posant g(y) = x on montre que g est bien une application :/ ? Comment montrer que les x et y tels que g(y) = x coïncident avec ceux qui vérifient f(x)=y?
Le moment où tu définis le graphe de g c'est le moment où tu décides ce que g fait.
T'as pas le droit de parler de g(x) à ce moment là vu que tu tournerais en rond.
Toi tu veux quoi ? que g soit une réciproque de f, c'est à dire que g(f(x)) = x, pour tout x de E (et f(g(y)) = y pour tout y de F).
Qu'est-ce que ça dit sur les images des y par g ? Ben que si y est de la forme f(x), alors g(y) DOIT être égal à x. Donc que si (x,y) est dans le graphe de f, (y,x) doit être dans le graphe de g.
Et l'autre propriété demande l'implication inverse : si g(y) = x alors f(x)=y, et donc si (y,x) est dans le rgaphe de g, (x,y) doit être dans le graphe de f.
Et donc tu n'as pas le choix pour le graphe de g, c'est forcément le "symétrique" du graphe de f.
Tu n'as pas besoin de parler de g(x) pour aucun x pour décider que le graphe de g doit être {(y,x) / x est dans E et (x,y) est dans le graphe de f}. Donc tu ne tournes pas en rond et ça définit bien quelquechose.