On considère l'anneau des entiers de Gauss
1) Soit
Fait, j'ai trouvé qu'il fallait que
2) En déduire la caractéristique
Là j'aurai dit
Merci d'avance pour l'aide donnée :we:
Ben314 a écrit:Salut,
Il manquerais pas un "détail" à ton énoncé ?
L.A. a écrit:2) le noyau de ton application Theta_A est l'ensemble des entiers qui ont une image nulle dans A, donc qui, vus dans l'anneau Z[i], appartiennent à l'idéal (2+i). Ca raccorde ainsi avec la question 1).
Ca, au niveau des notations, ç'est pas futé du tout : autantcapitaine nuggets a écrit:Là je bloque. D'après mon cours, la caractéristique deest l'unique entier
tel que
où
désigne l'unique morphisme d'anneau vérifiant
car
.
Ben314 a écrit:Ca, au niveau des notations, ç'est pas futé du tout : autant, c'est clair que ça désigne le neutre de A pour la multiplication, autant
tout seul, je vois pas ce que ça peut désigner dans le contexte (si l'anneau des entiers Z n'est pas inclus dans A, le 1 de Z n'est pas un élément de A...)
Donc écrire, je vois pas bien ce que c'est sensé vouloir dire et à part inciter à écrire des conneries en dessous, je vois pas l'intérêt.
Évidement, idem (voire pire) pourqui ne veut rien dire si Z n'est pas contenu dans A.
Par exemple, dans le cas super simple où A=Z/7Z, tu pense que c'est malin d'écrire les éléments de Z/7Z sous la forme d'entiers "normaux", c'est à dire sans barre au dessus ou quoi que ce soit d'autre pour préciser qu'on travaille modulo 7 ?
Revenons à l'exercice : tu cherche les entiers m tels quece qui, comme A=Z[i]/(2+i), équivaut à dire que
est dans l'idéal de Z[i] engendré par (2+i).
Et là, vu que Z est une partie de Z[i], tu peut effectivement dire queet donc que
donc le problème se ramène à determiner les m de Z qui sont des multiples (dans Z[i]) de 2+i et c'est ce que tu as fait à la question précédente.
Ben314 a écrit:Tu prend un élément x quelconque de A et tu doit montrer qu'il existe m dans Z tel que
Par définition, da A, ton x s'écritoù
est la surjection canonique de Z[i] dans A=Z[i]/(2+i).
De plusdonc, ce qu'il faut montrer, c'est que, étant donné un a+ib quelconque dans Z[i], il existe un entier m tel que
, c'est à dire tel que
soit un multiple de
.
Autre méthode (à peine différente), montrer queet
s'écrivent
pour un certain m.
Ça suffit vu queest un anneau et que
et
engendrent clairement l'anneau A.
Déjà, pour commencer, "prouver que I est un idéal", j'ai bien peur qu'il n'y ai pas grand chose à faire.capitaine nuggets a écrit:Soit. Comment déterminer si l'idéal
est premier ? maximal ? Dois-je prouver au préalable que
est effectivement un idéal ?
Déjà, pour commencer, "prouver que I est un idéal", j'ai bien peur qu'il n'y ai pas grand chose à faire.capitaine nuggets a écrit:Soit. Comment déterminer si l'idéal
est premier ? maximal ? Dois-je prouver au préalable que
est effectivement un idéal ?
Ben314 a écrit:Déjà, pour commencer, "prouver que I est un idéal", j'ai bien peur qu'il n'y ai pas grand chose à faire.
Je sais pas comment tu prononce à l'oral l'écriture, mais moi, ce que je prononce, c'est "I est l'idéal engendré par X deux plus un" donc...
Ensuite, il y a certes d'autres méthode plus proches des définitions, mais, dans un cas comme celui là, il me semble que le truc évident qui vient à l'esprit, c'est d'utiliser le théorème disant que, quelque soit le corps (commutatif) K et le polynôme P de K[X] on a équivalence entre :
- K[X]/(P) est premier.
- K[X]/(P) est maximal.
- P est irréductible dans K[X].
Après, si tu en as envie, tu peut aussi travailler dans K[X]/(P) :
- Comment s'écrivent les élément de cet anneau ? (si possible avec une écriture unique pour pouvoir travailler facilement avec)
- L'anneau en question est-il intègre ?
- Est-ce un corps ?
C'est (très beaucoup) plus long qu'avec le théorème sus-cité, mais ça peut être (un peu) formateur.
Ben314 a écrit:Déjà, pour commencer, "prouver que I est un idéal", j'ai bien peur qu'il n'y ai pas grand chose à faire.
Je sais pas comment tu prononce à l'oral l'écriture, mais moi, ce que je prononce, c'est "I est l'idéal engendré par X deux plus un" donc...
Ensuite, il y a certes d'autres méthode plus proches des définitions, mais, dans un cas comme celui là, il me semble que le truc évident qui vient à l'esprit, c'est d'utiliser le théorème disant que, quelque soit le corps (commutatif) K et le polynôme P de K[X] on a équivalence entre :
- K[X]/(P) est premier.
- K[X]/(P) est maximal.
- P est irréductible dans K[X].
Après, si tu en as envie, tu peut aussi travailler dans K[X]/(P) :
- Comment s'écrivent les élément de cet anneau ? (si possible avec une écriture unique pour pouvoir travailler facilement avec)
- L'anneau en question est-il intègre ?
- Est-ce un corps ?
C'est (très beaucoup) plus long qu'avec le théorème sus-cité, mais ça peut être (un peu) formateur.
Attention : ce n'est pas du tout ça à la fin, c'est Q=P+R(X²+1) [il faudrait peut-être que le X²+1 apparaissent quelque part dans les classes de Q[X]/(X²+1) !!!)capitaine nuggets a écrit:Dans K[X]/(P) :
- Les éléments s'écrivent
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