magnecity a écrit:Effectué un changement de variable: t= rac(u)
j'obtient donc sans me préoccuper pour le moment de x^(1-epsi),
1/2*intégral[sin(u)/rac(u) du] entre rac(x) et rac(x+1)
Euhhh, c'est pas plutôt entre x² et (x+1)² ? (donc un trééééés grand intervalle et pas un touuuuut petit...)
Ce qui change... toute la suite :
Comme l'intervalle est "trés large", la fonction fait des tas d'oscilations dans l'intervalle ce qui risque de rendre l'intégrale "pas trop grande".
Quand tu fait une intégration par partie dans un contexte comme celui ci, le "terme tout intégré" n'est pas génant, on a une "vrai valeur", mais en général, on ne sait pas plus calculer la nouvelle intégrale que l'ancienne.
Le but est donc que cette nouvelle intégrale soit plutôt plus petite que l'ancienne (sinon, je vois pas trop ce que l'on gagne...)
Or, vu ce que tu propose, l'ancienne intégrale contient du 1/racine(u) et la nouvelle du racine(u).
Comme u est grand (il est entre x² et (x+1)² avec x qui va tendre vers l'infini) ta nouvelle intégrale est plus grande que l'ancienne : aucun interêt.
Que faut il faire ?
Réponse : une intégration par partie, mais dans l'autre sens, i.e. dériver le 1/racine(u) pour le rendre encore plus petit.
Sur la "nouvelle intégrale", tu pourra utiliser le Th de la moyenne (ou une bête majoration) et tu auras une majoration "non ridicule" du truc que tu cherche.
P.S. : je me demande s'il ne faut pas faire une deuxième intégration par partie pour encore diminuer l'intégrale "peu connue" si on veut complètement répondre à la question posée.