Bonjour! Voici mon problème: Énoncé : n>1 Jn est une matrice de taille n telle que tous ses coefficients sont nuls sauf ceux juste au dessus de sa diagonale qui valent 1. Jn est nilpotente d'indice de nilpotence n. A est une matrice carrée de taille n nilpotente d'indice n. rg(Jn^k)=n-k pour tout en...
Bonjour ! Quelle est la méthode pour prouver qu'un espace vectoriel est de dimension finie sans en trouver une base svp ? J'ai besoin de montrer que Com(A), l'ensemble des commutants de la matrice A dans Mn(IR) est un espace vectoriel de dimension finie. Com(A)={B dans Mn(IR) | AB=BA} Le but final d...
Je cherche à montrer que (Jn)^n=0 Or, on a (Jn)^n=(MatB(u))^n=MatB(u^n) et j'ai montré que, pour tout n, on a pour tout k : u^n(ek)=0 ce qui montre bien que (Jn)^n=0 initialisation: n=1; J1=(0) donc u(e1)=0 hérédité: soit n dans IN. Supposons que u^n(ek)=0 pour tout k dans [1,n] Soit k' dans [1,n+1]...
Je n'arrive pas à conclure à partir de ça, comment raisonnez-vous ? Et en procédant par récurrence mon résultat est-il bien correct ? (avec le prédicat "u^n(ek)=0 pour tout k dans [1,n]" , l'hérédité se fait vraiment rapidemment)
Je crois avoir montré que u^n(ek)=0 pour tout k dans [1,n] par récurrence et dans ce cas le résultat est montré: Jn est bien nilpotente. Pour montrer que son indice de nilpotence est n, un contre-exemple suffit-il ? Pour n=3 par exemple, (Jn)² n'est pas la matrice nulle.
Merci mais je n'arrive pas à exploiter ces pistes... Si u est un endomorphisme tq MatB(u)=Jn avec B la base canonique, on a Jn^n=(MatB(u))^n=MatB(u^n) et...? Je ne sais pas où est-ce que ça peut me mener. Il faudrait que je montre que u^n(ek)=0 pour tout k dans [1,n]. Quant au noyau de Jn^k, je ne s...
Bonjour ! Je commence mon DM de 4 pages et je bloque déjà (depuis quelques jours) sur la première question (ça s'annonce bien!). Énoncé : Jn est une matrice de taille n telle que tous ses coefficients sont nuls sauf ceux juste au dessus de sa diagonale qui valent 1. Question : Montrer que Jn est nil...
Bonsoir! Lorsqu'une suite récurrente est définie sur N* , faut-il exprimer u(n) en fonction de n-1 ou peut-on l'exprimer en fonction de n uniquement ? (les coefficients ne seront bien évidemment pas les mêmes dans les 2 cas) J'ai déjà la relation de récurrence entre u(n), u(n-1) et u(n-2). J'ai donc...
Et, en montrant ainsi que R_2[x] et G_2 sont supplémentaires, nous n'avons donc pas besoin, au préalable, de montrer qu'ils sont en somme directe : on fait d'une pierre deux coups. Ou bien est ce que je me trompe ?
Il faut, puisque g(0)=0, avoir c=0 Et puisque g'(0)=0, on a aussi b=0 De même pour que g''(0) , on aurait forcément a=0 Donc f=g !! Donc on a montré l'unicité de a,b,c et g. Cela nous permet-il bien de conclure ? Merci !