Alpha a écrit:
Mais il ne faut alors pas que leur bonheur soit conditionné par le fait de passer leur vie à réfléchir et éloignés de toutes les préoccupations directement relatives à la société, car alors le fait qu'ils perdent leurs richesses impliquerait qu'ils soient obligés de travailler, donc de participer directement à la vie de la société, pour gagner leur vie, ce qui impliquerait qu'ils seraient alors malheureux.
Or, si l'on est malheureux lorsqu'un "bien" nous est enlevé, c'est que notre bonheur en dépendait...
:happy3:
Clain a écrit:Mais ce n'est finalement qu'une histoire (bien racontée, certes) assez banale (même si le contexte n'est pas proche de nous), courte, avec peu d'action. Je m'attendais sans doute à quelque chose de plus fouillé, des dialogues moins "terre à terre" peut-être.
Clain a écrit:J'ai commencé Le Clézio et ça colle à ce que je m'attendais à lire après avoir lu les commentaires ici et là. J'ai sauté des paragraphes entiers sans me sentir largué dans l'histoire, je vais peut-être sauter des pages, je tomberais sur la fin de la pêche aux hourites. :/
Clain a écrit:dans ma vision, le bonheur ne peut pas être un sentiment éphémère
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