Hard work vs intelligence

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bneay
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hard work vs intelligence

par bneay » 20 Fév 2014, 15:50

Salut tout le monde..

Dans la prépa y a deux types, des "hard workers" et des "génies" si on peut le dire.
selon vous, quelle méthode de travail vous pouvez suggérer ? hard work or intelligence, or something else!!

Merci d'avance pour vos réponses.



MattFellow
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par MattFellow » 21 Fév 2014, 19:51

Si t'es un génie tu peut y aller les mains dans les poches mais sinon tu bosse. A toi de voir mais le plus souvent faut bosser quand t'es en prépa ^^

busard_des_roseaux
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par busard_des_roseaux » 27 Fév 2014, 12:50

bonjour,

faux dilemne, les génies travaillent dûr aussi. Peut être qu'ils retiennent tout ce qu'ils ont lu une seule fois, ptet qu'ils ont déja une idée préconcue (et exacte) de ce qu'ils vont lire avant de l'avoir lu, et ptet qu'ils discutent plus avec leur entourage que dans les familles gênées par des difficultés de tous ordre.
ptet qu'ils sont anormalement concentrés sur leur tâche sans être distraits (pas le genre à faire leur DM avec la télé allumée)

cordialement,

MattFellow
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par MattFellow » 27 Fév 2014, 19:39

No pain, no gain ;)

Sourire_banane
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par Sourire_banane » 27 Fév 2014, 19:56

Moi je travaille pas et je suis médiocre.

lol

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Ben314
Le Ben
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par Ben314 » 27 Fév 2014, 20:49

Perso, j'enseigne à la fac et pas en prépa, mais il est quand même assez clair qu'il y a des étudiants qui s'en sortent super bien en bossant... pas des tonnes... et d'autres qui s'en sortent pas trés bien en bossant beaucoup (je sais pas si c'est le cas dans d'autres matières que les maths).

Aprés 20 ans de carrière, je continue à penser qu'une différence fréquente entre les deux types d'étudiants concerne la façon dont ils "voient" les maths. Je ne sais pas à qui revient la faute, mais j'ai toujours l'impression que pas mal d'étudiant n'ont pas vraiment assimilés que ce que l'on attend principalement d'eux, c'est qu'ils comprennent ce qu'on leur raconte et pas qu'ils le "gobent" comme des véritées à apprendre par coeur.

Je suis par exemple toujours aussi surpris de voir la quantités d'élèves arivant chez nous qui connaisant par coeur les fameuses formules "delta=b²-4ac, si delta>0 alors...." et qui sont totalement totalement incapable de les démontrer alors que la preuve est quasiment plus courte que l'énoncé complet du résultat. Là où c'est le plus flagrant, c'est lorsqu'on voit des étudiants sortir du "delta=b²-4ac" pour résoudre par exemple x²-4=0...

Aprés, il ne faut pas voir ce que je raconte comme forcément une critique de ce qui est fait au colège et au lycée : quand je vois les copies des étudiants qui préparent le CAPES, voir même l'Agreg., je constate qu'ils ont pas forcément aquis de meilleurs reflexes dans le supérieur... :cry:
Je me demande des fois si, au départ, il n'y a pas une espèce de "flemme intellectuelle" chez l'homo sapiens-sapiens qui fait qu'il préfère une bonne vieille formule à appliquer bêtement plutôt qu'une "tempète de cerveau" consitant à comprendre de quoi il ressort.

Pour donner un exemple à un niveau primaire, j'ai constaté que, quand on demande un truc du style 6x7=? à un gamin d'une dixaine d'année, il y a grosso modo deux types de comportement parmi ceux qui ne se rappelle plus de la réponse par coeur :
- Le plus fréquent : ceux qui racontent un peu n'importe quoi en cherchant (je pense) désespérément à faire appel à leur mémoire défaillante.
- Ceux, plus rares, qui cherchent une autre façon de faire le calcul, du style 6x5+6+6 pour retrouver la valeur oublié.

Ce comportement du style "j'ai pas envie de comprendre, j'ai envie d'une recette toute faîte qui va me donner le bon résultat" me semble flagrant dans pas mal de post du forum "lycée"
Qui n'entend qu'un son n'entend qu'une sonnerie. Signé : Sonfucius

bneay
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par bneay » 28 Fév 2014, 05:24

Sourire_banane a écrit:Moi je travaille pas et je suis médiocre.

lol

et tu fais quoi par hasard xD ?

Sourire_banane
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par Sourire_banane » 28 Fév 2014, 15:59

bneay a écrit:et tu fais quoi par hasard xD ?

Une prépa...

busard_des_roseaux
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par busard_des_roseaux » 01 Mar 2014, 01:57

Sourire_banane a écrit:Moi je travaille pas et je suis médiocre.

lol


CQFD..............................................

Robic
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par Robic » 03 Mar 2014, 07:55

Je n'ai jamais mis les pieds en prépa, mais j'ai passé pas mal d'années à la fac (à la fin de mes études j'ai même animé des séances de travaux dirigés donc j'ai été des deux côtés) et je pense qu'on peut faire les mêmes observations.

Déjà, entre les génies et les gros bosseurs, je pense qu'il y a des intermédiaires... Mais effectivement, on peut se poser deux questions :
- pourquoi certains réussissent-ils mieux que moi sans travailler autant que moi ?
- pourquoi certains bossent-ils beaucoup et n'ont pas de résultats ?

Pour les deux questions, je dirai que c'est une question d'efficacité.

Si on met de côté les vrais génies (ils existent mais sont trop peu nombreux pour que j'en parle), je pense que la différence tient dans l'efficacité du travail : il est possible de travailler plus ou moins efficacement. Or on n'enseigne pas, ni au collège ni au lycée, comment travailler efficacement. Je pense même qu'on enseigne au collège de mauvaises méthodes : on fait croire aux élèves qu'il faut apprendre le texte du cours, et même d'apprendre certaines formules par coeur, ce qui est une perte de temps pour un bon élève. L'obligation d'apprendre des formules par coeur tient à mon avis du nivellement par le bas : un bon élève n'a pas besoin d'apprendre des formules par coeur, par contre ça peut servir de béquille à un élève moins doué.

On va me rétorquer : il y a quand même des formules à connaître par coeur, par exemple cos²x+sin²x=1. Oui, je suis d'accord. Je trouve même scandaleux qu'un étudiant ne puisse pas avoir le réflexe de remplacer cos²x-1 par -sin²x dans une équation où il n'y a que des sinus. Mais je n'ai pas dit qu'il ne fallait pas connaître des choses par coeur : j'ai dit qu'il ne fallait pas les apprendre. Un bon élève comprend pourquoi cos²x+sinx²=1 (il voit Pÿthagore sur le cercle trigonométrique) et le retiendra assez vite, après quelques exercices d'application. Comme il a compris la formule, qu'il a compris en quoi elle est utile, mieux : qu'il a compris qu'elle était importante, il la retient. L'élève moins doué n'a peut-être pas vu le lien avec Pythagore, ou n'a pas en tête le cercle trigonométrique, en tout cas il n'a pas saisi l'importance de cette formule et en quoi elle sera utile. En l'obligeant à l'apprendre par coeur, on augmente les chances qu'il pense à elle le jour où elle sera utile. En obligeant tous les élèves à adopter cette béquille, on fait du nivellement par le bas. (Comme si on obligeait tous les cyclistes à mettre les deux petites roues sur le côté...)

Quand j'étais au lycée, j'étais persuadé qu'on nous demandait d'apprendre le texte du cours, parce que c'était le cas au collège. Or je ne progressais pas. J'avais pourtant bonne conscience : j'ai appris le cours ! En fait seulement le texte du cours - je n'avais donc rien appris... C'est seulement en terminale que je me suis rendu compte que d'avoir fait plein plein d'exercices m'avait fait progresser : désormais, j'apprendrai mon cours en me focalisant sur les exercices (méthode qui m'a très bien réussi à la fac).

Et donc je reviens à mon idée de travail efficace. La bonne méthode, je crois, c'est 1. comprendre ce que dit le prof pendant la séance de cours, 2. lire le cours chez soi rapidement (juste pour savoir de quoi il parle), 3. faire/refaire les petits exercices de base. C'est durant l'étape 3° qu'on va vraiment commencer à comprendre le cours, donc à l'apprendre, et même à retenir les formules.

L'étape 1 est importante, c'est là qu'on peut gagner du temps (par rapport à ceux qui en perdent). Quand j'étais à la fac, je voyais beaucoup d'étudiants recopier le tableau avec retard, donc ils ne comprenaient pas ce qu'ils écrivaient, contrairement à moi qui recopiait en écoutant (je peux écrire très vite - très mal, mais très vite - et j'abuse d'abréviations, c'est un gros avantage) donc en apprenant déjà en partie le cours. Je crois que c'est un problème qui existe autant en fac qu'en prépa : je sais que certains étudiants passent leur cours à recopier au lieu d'écouter (et comprendre). Il ne faut pas avoir peur d'écrire mal. De toute façon le texte du cours ne sert à rien, ce n'est qu'un brouillon (il sert à produire des résumés de cours et des résumés des démonstrations). Les étudiants qui passent leur cours à faire du recopiage auront un retard important sur ceux qui ont écouté le prof : les premiers devront relire le cours et le recomprendre (et rattraper 1h de cours tout seul dans sa petite chambre, ça prend 2h...), les seconds auront juste à le relire rapidement avant d'attaquer la feuille d'exos.

Quant à l'étape 3, j'estime que c'est elle qui correspond au réel apprentissage du cours. C'est en faisant des exercices qu'on va vraiment le comprendre : pas seulement comprendre les définitions ou les propositions, mais comprendre en quoi les nouvelles notions sont importantes, saisir leur lien avec les autres notions, etc. Et bien sûr acquérir les bons réflexes. Là encore il faut éviter de perdre du temps en passant la séance de TD à faire du recopiage de tableau.

Donc, pour résumer les deux extrêmes :

- Certains étudiants ne savent pas prendre de notes. En cours, ils ont toujours un ou deux tableaux de retard. Leur cours de maths est en fait une séance de recopiage de tableau. Ils n'ont rien appris. Du coup, le soir ils doivent relire le cours. Le contexte est différent et il n'y a pas de prof pour faire des remarques pertinentes, du coup ils passent beaucoup de temps. Ajoutons qu'ils croient que l'important, c'est le cours. Ils passent donc du temps à essayer d'en retenir le plus possible, du moins de retenir le texte. Peut-être pour se donner bonne conscience, ou peut-être à cause d'une habitude qui leur avait réussie au collège, ils apprennent même des choses par coeur ! Une fois ce travail effectuée (il est sûrement plus de minuit), il reste à faire les exercices du jour. Forcément, ils rament, surtout qu'ils ne songent pas toujours à consulter les exemples du cours en cas de bloquage. Le lendemain, fatigués, ils ont du mal à écouter la correction vu qu'ils sont encore en séance de recopiage de tableau. Des exercices qu'ils n'ont pas su faire et dont ils ont mal écouté la correction vont devoir être révisés un jour ou l'autre à la maison s'il reste du temps... Si le prof les interroge sur le cours, ils parviendront sans mal à en débiter des extraits par coeur, mais ne pourront pas répondre aux questions intéressantes, ce qui découragera le prof...

- D'autres étudiants savent prendre des notes, ce qui leur permet d'écouter le prof : ils savent de quoi parle le cours, ils comprennent les remarques pertinentes ou les schémas. Le soir, ils relisent le cours rapidement pour se remémorer les propriétés (qu'ils ont déjà commencé à comprendre), et attaquent aussitôt la feuille d'exercices, le cours ouvert à côté afin de le consulter en cas de blocage. Comme ils ont le temps et qu'ils ont déjà digéré une bonne partie du cours, ils réussissent par eux mêmes une bonne partie des exercices, ce qui leur permet d'acquérir les réflexes et, au passage, de vraiment comprendre le cours, donc de vraiment l'apprendre. Ils se couchent pas trop tard et sont ainsi en pleine forme pour la correction du lendemain, qu'ils suivent attentivement, notamment pour les exercices qu'ils n'ont pas réussi et qu'ils comprennent cette fois. Quand le prof les interrogera sur le cours, ils répondront avec des mots à eux et hésiteront peut-être un peu, mais ce sera une vraie discussion de maths, et le prof retrouvera le moral !

Sourire_banane
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par Sourire_banane » 03 Mar 2014, 10:51

Et tout le monde il est joli, ils firent beaucoup d'enfants et vécurent heureux jusqu'à la fin de leur vie :zen:

Sérieusement, j'approuve tout ce qui a été écrit par Robic.

Ecouter en cours est un gros avantage. Personnellement je m'abstiens parfois de recopier le cours en sachant que j'ai mon polycop chez moi, parce qu'en écoutant la démo et en essayant de l'anticiper avant que le prof ne l'écrive au tableau, je retiens mieux le schéma logique de la démo, ce qui me permet ensuite de l'apprendre en une lecture chez moi.

Et quand on n'a pas compris qqchose, il faut pas hésiter à lever le doigt, au lieu de le garder au chaud dans son troudbal...

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Ben314
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par Ben314 » 03 Mar 2014, 12:16

Un truc qui se fait de plus en plus chez nous pour que les étudiants suivent le cours et ne passe pas leur temps à recopier le tableau (en plus de tout ce que dit Robic, je rajouterais que le comportement consitant à écrire des truc qu'on ne comprend pas, ça fait que les notes qu'on prend sont souvent trufées d'énooooormes fautes...), c'est d'aller en cours avec un rétropro. et de projeter sur un tableau blanc au fûr et à mesure les définitions et théorème du cours.
On distribue aux étudiant le jour même un mini poly contenant la même chose et le cours consiste, (aprés avoir lu une definition/théorème) uniquement à le commenter, à donner des exemples et à faire la preuve du théorème.
Ça scinde un peu le truc en deux : les definitions/théorème qu'il faut à un moment ou un autre plus ou moins "apprendre" et tout le reste (commentaires, exemples et preuves) qu'il faut principalement comprendre.
J'ai l'impression qu'avec cette méthode, il y a un peu plus d'étudiants attentif à ce qu'on raconte...
Qui n'entend qu'un son n'entend qu'une sonnerie. Signé : Sonfucius

barbu23
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par barbu23 » 03 Mar 2014, 12:39

Bonjour,

C'est important ce que souligne Robic dans son grand pavé ... J'applique exactement la même démarche cité dans ce pavé mais seulement dans des matières techniques comme les maths, la physique, la chimie , l'informatique, statistiques , comptabilité ... etc, puisque ce sont des matières qui reposent sur la compréhension et juste un tout petit peu sur la mémorisation ... Si on parvient à comprendre, la mémorisation se fait automatiquement sans aucune peine heureusement ... mais là où ça pose problème pour moi c'est dans les autres matières : par exemple : Histoire , géographie , économie, Langues ( pour les langues, pour être franc, c'est un peu passionnant que les autres matières du genre, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs ... ), Textes littéraires, Dissertations, Philosophie ... etc, ... Alors là, je ne vois pas du tout la méthode à suivre, car je suis toujours la méthode traditionnelle qui remonte à mon enfance est d'apprendre par cœur ... A part ça, je ne comprends pas comment gérer l'apprentissage de ces matières ... Avez vous une méthode efficace pour ça ... Surtout que la méthode d'apprentissage est encré dans mon mémoire et je ne sais pas comment pouvoir être capable de la remplacer par une autre méthode, je n'arrive pas à m'en débarrasser, parce que dans mon enfance, j'ai passé les 6 ans de primaire dans la torture et les travaux forcés : si tu n'arrives pas en classe en apprenant par cœur les cours tu es toujours puni verbalement et physiquement, c'était une mauvaise expérience durant mon passé, et je n'arrive pas à m'en débarrasser d'apprendre par cœur malgré les efforts que je déploie pour m'en sortir ... Moi, j'habite dans un pays, où les méthodes d'apprentissages à l'époque étaient trop archaîque et trop traumatisant ...

Merci d'avance. :happy3:

bneay
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par bneay » 03 Mar 2014, 18:51

barbu23 a écrit:Bonjour,

C'est important ce que souligne Robic dans son grand pavé ... J'applique exactement la même démarche cité dans ce pavé mais seulement dans des matières techniques comme les maths, la physique, la chimie , l'informatique, statistiques , comptabilité ... etc, puisque ce sont des matières qui reposent sur la compréhension et juste un tout petit peu sur la mémorisation ... Si on parvient à comprendre, la mémorisation se fait automatiquement sans aucune peine heureusement ... mais là où ça pose problème pour moi c'est dans les autres matières : par exemple : Histoire , géographie , économie, Langues ( pour les langues, pour être franc, c'est un peu passionnant que les autres matières du genre, je ne sais pas pourquoi d'ailleurs ... ), Textes littéraires, Dissertations, Philosophie ... etc, ... Alors là, je ne vois pas du tout la méthode à suivre, car je suis toujours la méthode traditionnelle qui remonte à mon enfance est d'apprendre par cœur ... A part ça, je ne comprends pas comment gérer l'apprentissage de ces matières ... Avez vous une méthode efficace pour ça ... Surtout que la méthode d'apprentissage est encré dans mon mémoire et je ne sais pas comment pouvoir être capable de la remplacer par une autre méthode, je n'arrive pas à m'en débarrasser, parce que dans mon enfance, j'ai passé les 6 ans de primaire dans la torture et les travaux forcés : si tu n'arrives pas en classe en apprenant par cœur les cours tu es toujours puni verbalement et physiquement, c'était une mauvaise expérience durant mon passé, et je n'arrive pas à m'en débarrasser d'apprendre par cœur malgré les efforts que je déploie pour m'en sortir ... Moi, j'habite dans un pays, où les méthodes d'apprentissages à l'époque étaient trop archaîque et trop traumatisant ...

Merci d'avance. :happy3:


Pour les matières d'apprentissage (littéraires généralement) , essayer d'être à jour, quand je dis ça je te demande pas d'apprendre chaque jour, mais de consacrer un quart d'heure pour la lecture seulement, Lire comme si c'est un roman, ça reste dans la mémoire.. la nuit de l'exam tu n'auras aucun problème de révision.

Mathusalem
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par Mathusalem » 04 Mar 2014, 13:10

Moi j'avais une méthode efficace : je lisais mon cours à l'avance. Lors du cours, on sait où le prof veut en venir, on a déjà bien dégrossis le sujet, et lorsqu'on arrive à l'endroit où l'on n'a pas compris chez soi, on ouvre bien grand les oreilles.

Ginette4L
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par Ginette4L » 28 Déc 2014, 02:42

bneay a écrit:Salut tout le monde..

Dans la prépa y a deux types, des "hard workers" et des "génies" si on peut le dire.
selon vous, quelle méthode de travail vous pouvez suggérer ? hard work or intelligence, or something else!!


La réflexion est intéressante mais trop caricaturale : entre les deux, il y a des millions de configurations.

 

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