L'oiseau,
perché sur la cime d'un séquoia vénérable,
observait le troupeau humain qui s'agitait
dans la fournaise des passions humaines.
C'était le crépuscule,
Survolant la forêt, l'oiseau choisit un arbre et s'y installa.
Son ouïe perçut les caresses d'un silence moelleux.
Alors, il compris qu'il allait avoir un sommeil paisible.
La nuit étoilée couvrait la forêt silencieuse,
Le temps semblait immobile,
Au loin, une faible lueur bleuissait l'horizon,
L'oiseau dormait profondément.
Peu à peu, le ciel s'éclaircissait,
Une légère brise agitait les feuilles
Dont le bruissement accompagnait
Les parfums de la forêt.
En ce lieu inaccessible aux humains,
La paix et l'harmonie étaient permanentes.
Ecrit dans la spontanéité au cours de la
première semaine de juillet 2003.
C'est simplement un texte qui traduit
un état d'esprit et une ambiance.
Il n'y a aucune ambition poétique.
Les professionnels de la poésie comprendront.