(z/ voulant dire conjugué de z)
Classique, c'est certain.
On a ensuite posé l'application
On a démontré que l'application phi est involutive : pas de problème. De même pour la bijectivité et (bien entendu vu l'involutivité) l'application réciproque, qui n'est rien d'autre que l'application phi elle même.
Mon problème vient juste entre ces deux étapes : la définition de phi et la démonstration de son involutivité. On a dit que phi était un endomorphisme (que le prof nous a défini oralement comme étant un morphisme ayant le même ensemble de départ et d'arrivée). Mais la, vu la définition de phi, je ne vois pas pourquoi c'est un morphisme. On a défini un morphisme comme étant un application associant à tout élément de (A,T) un élément de (A',T') avec T et T' des loi de composition interne de A et de A' respectivement.
Mais dans la définition de phi, je ne vois (explicitement dit) aucune loi de composition interne. Est-ce parce que c'est bon pour les LCI "+" et "*" dont on vient de faire la démonstration (le (1) ) ? Ou alors je suis à côté de la plaque ?
Je vois très bien que :
et :
Sont des endomorphismes involutifs et bijectifs, mais pas phi tout court. Abus de notation peut être...
merci de m'éclairer.
