Bah j'ai pas de source, je les ai inventées hier.
J'peux faire la démo de la première c'est pas compliqué.
E(x) =
)\right))
On commence par regarder, pour y dans R,
 = \lim_{p \to \infty} \arctan(p y))
.
Si y 0, py tend vers +l'infini, et donc f1(y) = +pi/2.
Ensuite on regarde, pour y dans R,
 = \lim_{m \to \infty} f_1(y+\frac{1}{m})))
.
Ça, ça a pour effet de retirer le cas "y=0" dans f1 et de gagner automatiquement la continuité à droite.
Si y =0, ben y+1/m est toujours > 0 donc la suite est constante à +pi/2 donc f2(y) = +pi/2.
Ensuite on regarde, pour y dans R,
 = \lim_{n \to \infty} \bigsum_{k=-n-1}^n f_2(y+k))
.
C'est une fonction en escalier, qui vaut pi*E(y)
Pour tout y, la suite finit par être stationnaire. Si k >= |y|, f2(y+k) vaudra toujours +pi/2 et f2(y-k-1) vaudra toujours -pi/2, donc ils se compensent.
La suite est stationnaire sur un multiple de pi (y'a toujours un nombre pair de termes f2(y+k), qui sont +ou - pi/2).
La fonction est continue à droite.
Ses discontinuités sont à chaque entier, quand on passe de la gauche à la droite d'un entier, y'a un f2 dans la somme qui passe de -pi/2 à +pi/2 donc la différence est exactement de pi.
f3(0) = 0 parceque pour tout k, f2(0+k) + f2(0-k-1) = +pi/2 -pi/2 = 0.
Donc il reste juste à diviser par pi pour avoir la fonction partie entière.