La différence entre tes deux écritures infinies est que y'en a une où tu sais par quoi ça se termine (1+2/-1), et que l'autre tu dis rien sur comment interpréter la fin de ton écriture (2/(1+...))
Généralement le comportement de la suite
)
dépend du premier terme de la suite.
Ici, 2 et -1 sont deux limites possibles de la suite.
f'(x) = -2/x².
|f'(2)| = |-2/4| = 1/2 1. Ca implique que même si x est proche de -1, f(x) s'éloignera de -1.
Il ne peut pas y avoir de suite qui tend vers -1 à moins que la suite soit stationnaire,
et ça dit que l'ensemble des valeurs initiales qui vont générer une suite qui tend vers -1 est fermé (et dénombrable dans notre cas)
Ici, on peut dire que l'ensemble des valeurs initiales qui générent une suite qui tend vers 2 est un ouvert dense de R, et que si on devait donner un sens à l'écriture infinie f(f(f(...))), ben c'est la limite 2 qu'on devrait prendre.