Point de vue omniscient

[momo3060]

Salut,

Je dois réécrire un texte en adoptant un point de vue omniscient à l'origine il est externe.

Donc le texte d'origine :

Dans les premiers jours du moin d'octobre 1815, une heure environ avant le coucher du soleil, un homme qui voyageait à pied entrait dans la perite ville de Digne. Les rares habitants qui se trouvaient en ce moment à leurs fenêtres ou sur le seuil de leurs maisons regardaieet ce voyageur avec une sorte d'inquiétude. Il était difficile de rencontrer un passant d'un aspect plus misérable. C'était un homme de taille moyenne, trapu et robuste , dans la force de l'âge. Il pouvait avoir quarante-six ou quarante-huit ans. Une casquette à visiere de cuit rabattu cachait en partie son visage brûlé par le soleil et le hâle en ruisselant de sueur.

En le réécrivant dans un point de vue omniscient sa me donne :

Dans les premiers jours du moin d'octobre 1815, une heure avant le coucher du soleil, Jean Valjean qui voyageait à pied entrait dans le petite ville de Digne. Les rares habitants qui se trouvaient en ce momoent à leurs fenêtres ou sur le seuil de leurs maisons regardaient cette homme avec une sorte d'inquiétude. Il était defficile de rencontrer un passant d'un aspect plus misérable. C'était un homme de taille moyenne, trapu et robuste, dans la force de l'âge. Il avait 47 ans. Une casquette à visière de cuir rabattue cachait en partie son visage brûlé par le soleil et le hâle ruisselant de sueur.

Si vous pourriez me dire si c'est juste ou pas si j'ai zappé des truc merci

[Heiko]

Précise au maximum, même si tu dois inventer les détails, ça fera plaisir à ta prof ("premiers jours", quel jour? "environ une heure", quelle heure? une description plus précise du physique). Tu peux faire tout et n'importe quoi, laisse aller ta plume.

Un truc qui peut être pas mal: esquisser quelques lignes sur les pensées de Valjean à ce moment, celles d'un homme à la fenêtre (pour prouver l'omniscient) et parler d'un chat quelconque qui se balladait sur un murret, sans s'intéresser, lui, au héros.

Libre cours à ton imagination.