nodgim a écrit:Ah ! Je ne savais pas que ça s'appelait comme ça.
Tu es comme moi : de l'époque où, en France, on n'avait pas encore la manie d’attribuer des nom propres à tout les théorème et définitions. Bref, pour les vieux cons comme moi (et toi ?), ça s'appelle
le principe d'inclusion-exclusionRemarque :
- Faut dire qu'on était sacrément con dans le temps : rien qu'avec le nom du théorème tu risquait de savoir de quoi tu parle. Quelle horreur !!!
- Sans parler du fait que, pour pouvoir te faire mousser en société avec du "jargon jargonesque", c'était vraiment nul à chier. Depuis qu'on utilise en France le "Théorème d'Al-Kashi" on voit tout de suite qu'on est bien plus balèze que tout les autre abrutis d'étrangers avec leur débile "Loi des cosinus".EDIT :
D'un autre coté, je comprend pas bien où ça pourrait te servir le principe d'inclusion-exclusion pour calculer les bidules :
Si on note
le nombre de surjections d'un ensemble à
éléments dans un ensemble à
éléments, alors il me semble que le premier truc qui vient à l'esprit, c'est quand même d'écrire que, pour entièrement déterminer une application (quelconque) d'un ensemble à
éléments dans un ensemble à
on peut :
1) Choisir un certain nombre
d'élément à l'arrivée.
2) Puis choisir une surjection de l'ensemble de départ sur les
éléments en question.
Donc
et ça me semble archi-classique d'inverser ce type de système linéaire (il me semble que, dés qu'on voit la notion de système linéaire et de matrices associées, on voit en exercice quel est l'inverse de la matrice formée des coeff. binomiaux, non ?)
Mais bon, y'a sûrement d'autre méthodes (mais plus simple, j'y crois pas bien).