Pour moi, la façon "normale" de procéder, c'est (bien évidement) par équivalence :
Sinon, normalement, pour parler de "fonction réciproque", il faut au départ clairement identifier quel est l'ensemble de départ et d'arrivé de la fonction en question, ce que tu n'a pas fait.
Mais, à condition d'admettre que l'ensemble de départ, c'est R tout entier, on peut considérer que la question c'est "
Déterminer un intervalle J de R tel que g soit une bijection de R sur J et déterminer sa bijection réciproque"
Dans ce cas, à mon sens, la réponse ça doit être ça :
On
choisi un

quelconque dans R et on va chercher si,
en fonction du y choisi, il existe un (ou des) x dans R tel que g(x)=y.
(<- A écrire ABSOLUMENT pour comprendre quel est la "problématique")\!=\!y\ \Leftrightarrow\ -x\!+\!\sqrt{x^2\!+\!1}\!=\!y)

^2\text{ et }\sqrt{x^2\!+\!1}\text{ du m\^eme signe que }y\!+\!x)


Si

alors l'équation

n'a pas de solution.
Si

alors l'unique solution de

est

,
mais, pour que ce soit effectivement une solution à notre problème, il faut que

, c'est à dire

, c'est à dire

vu que

est toujours positif.
Bilan : Les seuls

pour lesquels l'équation
\!=\!y)
admet des solutions sont les

et dans ce cas, l'unique solution est

.
Donc la fonction

, vu comme une fonction de R
dans ]0,+oo[ est bijective et sa bijection réciproque est la fonction
de ]0,+oo[ dans R définie par
\!=\!\dfrac{1\!-\!y^2}{2y})
.
Une fois qu'on sait faire les tableau de variations et les limites, on peut voir voir plus rapidement que g est une bijection de R
sur ]0,+oo[, mais
bien évidement, lors du calcul de la réciproque, il doit
explicitement apparaître à un moment ou un autre qu'on a besoin de la condition

pour conclure (sinon, c'est qu'on a fait une erreur de raisonnement)