WillyCagnes a écrit:blr,
Le plus simple pour toi, c'est de repartir à zero en maths.On apprend à tout âge, tu es jeune.
Sur Internet tu as des cours gratuits niveau CM1, CM2, 6è, 5è....terminale
une fois acquis toutes ces notions mathématiques
tu pourras ensuite suivre des cours de maths à l'université.
Ainsi, tu sauras de quoi tu parles au lieu de philosopher sur les maths actuellement et te faire recaler par ton examinateur.
SigmaDelta a écrit:
1a) Rien ne prouve qu'un calcul est bien réel, tant qu'on a pas défini le réel
1b) Le calcul, pour exister, est obligé de ne pas exister (chat de Schrödinger)
1c) L'existence et la non-existence du calcul étant simultanées, l'alternance des états peut probablement tourner en boucle dans l'infini (Ruban de Möbius classique)
2a) J'aimerais partir de ce principe pour rendre toutes les opérations demandées inopérables.
2b) C'est là que ça coince : je n'ai pas le niveau nécessaire en maths pour "surprendre" mon prof.
3) Il est sûrement possible d'utiliser le temps, la matière, l'existence, comme des armes pour "tricher", même si je n'aime ni le mot, ni le principe. Mais là, c'est une nécessité vitale pour faire valider mes thèses dans d'autres domaines.
_ΣΔ
SigmaDelta a écrit:La faille d'un examen de maths est le manque de précision du réel, de l'infini, etc. Il est hautement probable que l'on puisse trouver un code / équation qui invalide la totalité des opérations demandées. Je m'interroge actuellement là-dessus. Même si je vais retravailler mes maths, ce débat me semble très intéressant et enrichissant pour la communauté.
Donc pour résumer : si rien n'est précisé sur la feuille d'examens, y a-t-il un moyen quelconque d'invalider l'examen lui-même, donc toutes les opérations ?
_ΣΔ
beagle a écrit:"
Bon alors faire le malin pour ne pas avoir à faire l'exo, c'est pas Asperger, c'est un truc de gamin.Donc range ta chambre avant et basta!
Ben314 a écrit:Salut,
Pour moi qui suis de formation (et surtout de "gout") bien plus un "matheux pur" qu'un "matheux appliqué", "les maths" et "le réel" ben c'est deux trucs qui n'ont rien à voir l'un avec l'autre.
Les "maths", ça étudie un monde que je qualifierais "d'idyllique" (donc surement pas le monde réel) dans lesquelles il y a un certain nombre de "lois" immuables et totalement vraies, quelque soient l'échelle à laquelle on se place : en math, on appelle ça des "axiomes" et ils sont à prendre (par définition même) tels quels, c'est à dire qu'on étudie "univers théorique" dans lequel ils sont vrais.
En ce qui me concerne, j'ai toujours vu ces axiomes comme (par exemple) les règles du jeu des échecs où le cavalier se déplace de deux case en avant et d'une case sur le coté : cette règle là, je m'en fout de savoir si ça a quoi que ce soit à voir avec le déplacement réel d'un vrai cavalier sur un vrai champs de bataille. La "bonne question", pour moi, c'est de savoir si, avec cette règle là (plus les autres règles de déplacement des autres pièces) est-ce que le jeu va être "riche" (c'est à dire intéressant) ou sans le moindre intérêt.
Par exemple, au niveau mathématique, partant d'un réel A>0 donné, on peut le diviser par 2 autant de fois qu'on veut (si je le divise n fois par 2, j'obtiens A/2^n) alors qu'il est assez évident que, dans le monde concret, c'est pas comme ça que ça marche : si je te dit de diviser un gâteau en 8, ça roule, en 64, ça commence à pas être bien clair vu que ça va faire de sacrément petites parts. Et si je te dit de le diviser 50 fois de suite par 2 (c'est à dire en fait de le diviser en 1 125 899 906 842 624 parts de même taille), ben c'est clair que "concrètement parlant", ça a plus de sens du tout (on doit être en dessous de la taille d'un atome...)
Idem concernant une autre notion qui semble te tenir à cœur, à savoir celle de "temps" : dans le monde (théorique) qu'on étudie en math., il n'y a pas de temps et c'est extrêmement visible par exemple à travers une propriété très spécifique à la logique des mathématique qu'on appelle "la contraposition" : pour un matheux, la phrase "si truc alors bidule" dit exactement la même chose que "si non(bidule) alors non(truc)" alors que dans (quasi) toutes les autres disciplines, le fait que "si truc alors bidule" est considéré comme un phénomène dit "de causalité" dans lequel la cause [truc] précède (dans le temps) l'effet [bidule] et qu'évidement avec ce point de vue là, tu ne risque pas d'avoir "si non(bidule) alors non(truc)" vu que non(bidule) est postérieur (dans le temps) à non(truc).
Pseuda a écrit:Bonsoir,
En maths à mon sens, on ne se demande jamais si ce qu'on fait est réel. Si on va par là, sommes-nous nous-mêmes des êtres réels ? Pour moi, les maths c'est une vue de l'esprit sur laquelle tout le monde s'entend.
Il y a des choses indémontrables parties de rien. Par exemple, le contraire de "quelque soit x, il existe y tel que y>x" est "il existe x tel que quelque soit y, x>=y". Ou bien plus simplement "1+1=2".
Alors là on s'entend. On définit le "1" l'unité, on définit le "2" comme "1" auquel on "ajoute" une unité, on a bien 1+1=2. Peut-être que pour des extra-terrestres, ce serait faux parce que pour eux notre "1" est leur "9" et notre "2" est leur "4". On s'accorde à dire que c'est vrai parce que tout le monde le comprend (un enfant de 3 ans). Si on ne le comprenait pas, on ne le verrait même pas. Pour ce qui est de la flamme ou de la goutte d'eau, on les fusionne, on ne les additionne pas.
Concernant les extra-terrestres dans leur lointaine galaxie, ont-ils les mêmes mathématiques que nous (à quelques variantes d'axiomes près"). On peut le supposer parce qu'ils ont la même physique que nous, mais ils n'ont peut-être pas la même tournure d'esprit, et ils obtiennent d'autres résultats ? J'en doute, parce que selon moi, les mathématiques nous dépassent et pré-existent à nous. Mais en même temps, elles ne sont pas forcément dans le réel. D'où un certain paradoxe (car, une fois pour toutes, on ne voit les choses qu'à travers nous).
Je pense aussi que nous sommes très limités, pas suffisamment intelligents pour comprendre certaines choses, comme l'infini, et je ne suis pas persuadée qu'on pourra un jour comprendre notre univers.
La phase d’aura se traduit d’abord par des troubles visuels: des points brillants (scotomes), des «mouches» noires, apparaissent devant les yeux. Dans d’autres cas, une plage noire coupe le champ visuel en deux et gêne la vue au point qu'il peut être impossible de conduire, par exemple. D’autres personnes peuvent voir se dessiner sous leurs yeux des dessins géométriques. On peut avoir ensuite des troubles de la sensibilité du type fourmillements ou engourdissement ainsi que des troubles du langage: difficulté ou impossibilité de parler.
Durant la phase d’aura, le malade n’a pas mal à la tête. Mais c’est après cette phase, que la céphalée peut s’installer : dans la plupart des cas le mal de tête apparait puis s’intensifie progressivement, la douleur pouvant atteindre son paroxysme au bout d’un temps variable selon les sujets, entre quelques instants et plusieurs heures. Par convention il est commode de demander au patient de noter sa douleur sur une échelle de 1 à 10.
La céphalée migraineuse se reconnait à son caractère pulsatile, la localisation unilatérale, et certains phénomènes bizarres comme l’impression qu’on vous enfonce un clou ou une vrille dans la tête. La douleur se localise également au fond de l’œil ou derrière l’œil.
Sans traitement approprié, la crise de migraine, avec aura ou sans aura, peut durer de quelques heures à 3 jours.
Cette pathologie est fréquente et bénigne mais sporadiquement très handicapante dans la vie quotidienne.
Je n’ai aucun moyen de savoir si le mécanisme s’est déclenché. Si mon chat était un objet quantique, je dirais qu’il est à la fois mort et vivant car selon la théorie de la superposition quantique, c’est tout à fait possible.
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