La description sommaire de la contradiction. Dans l'équation de Fermat, après la réduction des deuxièmes chiffres dans les facteurs premiers des nombres
Tous les nombres entiers sont traités dans un système numérique avec une base n, où n est un nobmre premier supérieur à 2.
Désignations:
Nous vous rappelons les propriétés de l'égalité de Fermat pour les entiers naturels (premiers entre eux) A, B, C:
1°)
1a°)
2 °) si
3a°) le nombre
3a °) et si, par exemple,
et dans l'équation
3b°)
Au début (i.e. dans le premier cycle - voir ci-dessous le début de la preuve), avec
4a-1°)
par conséquent (voir 5°),
4b-1°)
par conséquent (voir 1° et 2°),
4c-1°)
4d-1°)
5°) Le chiffre
Et maintenant la preuve proprement dite du DTF. Elle se compose d'une suite infinie de cycles dans lesquels l'exposant k (dans 3°), à partir de la valeur 2, est augmenté de 1.
Il est facile de se rendre compte (voir 5°), que les égalités 4d° sont contradictoires, car dans leur partie gauche les deuxièmes chiffres ('') des bases a, b, c et p sont absents, mais dans la partie gauche ils sont présents. Mais à condition suivante :
6°)
7°) le nombre
4a°-4d° pour le cycle suivant (en incrémentant dans les formules 4-1° le nombre k et les index par 1).
[Et si, par exemple,
Le cycle suivant est analysé de façon tout à fait analogue. Et ainsi jusqu'à l'infini. En conséquence, les terminaisons des nombres A, B, C prennent la forme suivante :
8°)
Et si nous reconstituons les valeurs des deuxièmes chiffres dans les facteurs a, b, c, p, q, r, alors les valeurs infinies des nombres A, B, C ne pourront qu'augmenter, ce qui témoigne de l'impossibilité de l'égalité 1° et de la vérité du DTF.
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Victor Sorokine. Mézos. Le 11 Mai 2017
[P.S. Cette la deuxième preuve, encore plus simple, du DTF. La première est datée du 5 Mai 2017 – voir http://rm.pp.net.ua/]
