Dasson2 a écrit:Bonjour,
Au temps des "maths modernes" des notions de logique étaient introduites en seconde.
P==>Q est UNE proposition, définie par une table de vérité, où il n'y a pas d'idée de déduction !
En particulier P==>Q est vraie quand P est fausse.
"De P vraie je déduis Q vraie" est une inférence, notée I--- dans certains livres.
L'usage confond l'implication et l'inférence d'où des confusions...
Pour avoir longuement débattu sur ce forum sur l'implication,
ben il m' a été clairement dit que l'utilisation du si A alors B était équivalent à l'implication.
Et donc de déconseillé à interdit au lycée.
Pourtant si j'ai A alors J'aurais B, ben si c'est pas la base des démonstrations?????
De mon temps à cheval sur les maths modernes , donc je ne sais attribuer quoi à qui,
on utilisait A implique B avec A implicitement vrai, il n' y avait pas à préciser "et A vrai".
Je n'ai pas noté sur le forum lycée un pauvre bougre complétement paumé dans l'équivalence à démontrer parce que son équivalence n'était absolument pas comprise comme les deux sens A vers B puis B vers A, or ça de mon temps ptain c'était la base.
D'ailleurs alors que l'implique est tabou au lycée on m'a soutenu que l'equivalence était accepté (qs pas grave alors le machin faux), sauf que c'est une équivalence non comprise.Une équivalence qui resulte de l'égalite a=b=c=d=... oui ben le jour où le mome divise par zéro y comprend plus" pourquoi ma fonction n'a plus le même domaine de définition" etc...
L'important est de savoir quoi faire lorsqu'il n' y a rien à faire.