La mécanique quantique

De la mécanique au nucléaire, nos physiciens sont à l'écoute
Lavau
Membre Naturel
Messages: 54
Enregistré le: 03 Juin 2017, 18:46

Re: la mécanique quantique

par Lavau » 10 Mar 2020, 16:37

Les frontières de la définition du photon ont dû être précisées :
Tout photon a un absorbeur.  Un photon est une transaction réussie entre trois partenaires : un émetteur, un absorbeur, et l'espace qui les sépare ou les milieux transparents ou semi-transparents qui les séparent, qui transfère par des moyens électromagnétiques un quantum de bouclage h, et respectivement une impulsion-énergie qui dépend des repères respectifs de l'émetteur et de l'absorbeur.

Complication n° 1 : en diffusion Rayleigh, la transaction est à cinq partenaires : émetteur, absorbeur, molécule de diazote pinçante et virante, et avec recul, et les deux espaces intermédiaires traversés.

Complication n° 2 : Une expérience de type Aspect est aussi à cinq partenaires, avec deux absorbeurs pour un seul émetteur de deux photons.

Complication n° 3 : C'est la différence entre deux états stationnaires de l'émetteur ou de l'absorbeur (ou des deux) qui fixe la transaction photonique à un quantum de bouclage de Planck, h , via l'équation de Schrödinger ; mais si ni l'émetteur ni l'absorbeur ne sont tenus par des états stationnaires, par exemple l'électron dans un synchrotron côté émission, alors quel miracle peut bien obtenir la seconde quantification traditionnellement postulée par l'église officielle ? Nous n'avons pas la réponse.
Côté absorbeur : accélérer un électron par une ddp, que ce soit dans un tube cathodique ou un accélérateur linéaire, on ne sait pas quantiser l'onde électromagnétique absorbée : zéro états stationnaires avant/après de l'électron accéléré.
Fin de citation.

La neuvième édition du manuel a six mois de retard ; il m'est difficile d'être partout.
En attendant, voici un abrégé de la rupture conceptuelle :
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/ ... tulats.pdf

Un protocole expérimental inattendu est à la portée de chacun :
https://www.agoravox.fr/culture-loisirs ... r-l-205808

La huitième édition française est à http://www.lulu.com/shop/jacques-lavau/ ... 62834.html
Modifié en dernier par Lavau le 15 Mar 2020, 14:41, modifié 1 fois.



pascal16
Membre Légendaire
Messages: 6663
Enregistré le: 01 Mar 2017, 14:58
Localisation: Angoulème : Ville de la BD et du FFA. gare TGV

Re: la mécanique quantique

par pascal16 » 11 Mar 2020, 22:17

Même si c'est un déterrage de topic, le sujet est louable.
Depuis qu'on fait des figures de diffraction avec 1 seul photon à la fois, de plus en plus de personnes arrêtent d'être dupées par des expériences répétée et mal interprétée. J'espère juste qu'on arrive à une théorie compète et propre avant que mon cerveau ne soit trop ramolli.

Lavau
Membre Naturel
Messages: 54
Enregistré le: 03 Juin 2017, 18:46

Re: la mécanique quantique

par Lavau » 06 Avr 2020, 23:39

L'héritage est le formalisme lagrangien, qui date du 18e siècle, qui donnait satisfaction aux astronomes, et qui est fondé sur l'idéation du "point matériel". La chance a voulu que la mécanique des astronomes donnât satisfaction aussi aux ingénieurs des métiers à tisser et de la machine à vapeur, à notre échelle.
Le problème est que ce concept du "point matériel" a continué à obséder les esprits des gens qui s'occupèrent de microphysique aux débuts du 20e siècle : ils l'ont rebaptisé "particule". Cela alors que cette extrapolation vers la microphysique, sous la limite atomique, n'a jamais valu un clou.
Le formalisme, hérité de Schrödinger, est strictement ondulatoire et déterministe, en complète contradiction avec la sémantique enseignée, qui est corpusculariste. Il ne faut s'ébahir que le rendement d'enseignement soit aussi consternant.

En ce moment sur ResearchGate, deux obstinés s'entêtent à professer qu'un photon est toujours corpusculaire, mais quand on leur demande où est le corpus expérimental qui soutiendrait leur idéation corpusculiste, c'est le silence terrifié. https://www.researchgate.net/post/How_p ... r_particle

L'extrapolation du macro-temps newtonien vers la microphysique non plus n'a jamais valu un clou. Les atomes et leurs noyaux ne vieillissent pas. Un noyau de Thorium 232 a exactement la même probabilité de se désintégrer cette année qu'il y a 5 milliards d'années, quand il a été synthétisé dans l'implosion d'une supernova. Le macro-temps newtonien est bien trop gros pour pénétrer dans un atome ; il n'est qu'une émergence statistique locale de beaucoup, beaucoup d'interactions.

Lavau
Membre Naturel
Messages: 54
Enregistré le: 03 Juin 2017, 18:46

Re:

par Lavau » 11 Avr 2020, 08:40

Dominique Lefebvre a écrit:Concernant l'expérience des fentes d'Young, permet moi de ne pas être tout à fait d'accord, Chimomo.
Il est vrai que l'expérience initiale d'Young démontre l'aspect ondulatoire de la lumière. Mais c'est parce qu'une très grande quantité de photons sont concernés.

On peut réaliser l'expérience de Young en utilisant très peu de photons (temps de tir très court si l'on utilise un capteur optique à la place de l'écran où se produisent les "franges"). On constate dans ce cas des impacts localisés et non plus des franges. On se retrouve alors avec une approche corpusculaire de la lumière.

la différence tient dans le nombre de photons en cause! Et c'est une des origines de la mécanique quantique. En effet, si l'on répète un gand nombre de fois l'expérience, en tirant à chaque fois une petite quantité de photons et en cumulant sur la même image le résultat de chaque tir, on observe alors dans les images cumulées l'apparition des franges....

Vous avez deviné que l'on en arrive aux probabiltés... Et à l'interprétation quantique de l'expérience de Young.

Telle est la narrative hégémonique, celle qu'il est obligatoire de répéter sous peine de représailles. Toutefois celle-ci sélectionne soigneusement le tout petit corpus de faits expérimentaux qu'elle conserve, après avoir éliminé tous les autres.

La lumière polarisée plane existe, avec plan stable, sur plusieurs kilomètres ; les abeilles, les photographes et les astronomes l'utilisent. Or de la lumière-corpuscule ne peut transporter qu'une hélicité, droite ou gauche. Il est impossible d'apparier deux photons-corpuscules en fréquence et en phase sur une telle distance pour simuler la polarisation plane réelle.
Fin de la lumière-corpuscules.
Les couches anti-reflets fonctionnent, et cela même loin des conditions d'Abbe. Simplement la fréquence favorisée diminue quand l'incidence augmente. Cela donne des minorants au diamètre d'un photon quand il passe par une couche anti-reflets : plusieurs longueurs d'ondes.

Les couleurs interférentielles fonctionnent, et avec de grands changements selon l'incidence. Les miroirs alaires des canards, les cous et têtes des colverts mâles, les agrions, les chatoiements des vanneaux huppés, les lézards verts, les écailles de nombreux poissons, dont par exemple les roucaous, et les cartes de crédits en sont la démonstration permanente. En incidence rasante, les miroirs alaires des sarcelles d'hiver passent du vert au magenta. Là encore, cela démontre des minorants aux longueurs et largeurs de chaque photon.

De nombreuses expériences ont porté sur la longueur de cohérence des photons selon la nature et la température de la source. Cela a été mesuré du millimètre aux décimètres dans le domaine du visible. Un "corpuscule" long de plusieurs décimètres ? Vous êtes sérieux ?

Des effets de décalages fins, effets Goos-Hänchen en polarisation plane et Imbert-Fédorov en polarisation circulaire, prouvent eux aussi de la largeur non négligeable de chaque photon. Vaste liste.

Depuis Bragg père et fils, prix Nobel 1915, la radiocristallographie rend d'immenses services, non seulement en rayons X, mais aussi avec des électrons voire des neutrons si vous pouvez accéder à ces moyens expérimentaux. Quelles lois d'optique ? Fresnel 1819, Maxwell 1873. La largeur des photons et la taille des cristallites y jouent un rôle limitant sévère : loi de Scherrer. J'ai fait tomber un escroc international sur diffractogrammes X : comparaison entre la largeur des reflex de vraies argiles, et la finesse des reflex du limon de la carrière dans la plaine de Qazvin. Aussi l'usine n'a jamais pu tourner avec ce limon non plastique et non extrudable, faute d'être établie sur une carrière de matériaux adéquats - matériaux introuvables dans cette province d'Iran.

La demi-phrase fameuse écrite par Albert Einstein en 1905 : "donc la lumière voyage par grains" est donc erronée. Comment cette erreur s'est-elle installée ? Le seul fait expérimental démontré par Planck en 1900, et Philipp Lenard, aussi en 1900, était que dans des circonstances à préciser, vous ne pouvez acheter ou vendre de l'interaction électromagnétique que par quanta entiers h d'action par unité de phase. A la décharge d'Einstein, les connaissances métallurgiques fines indispensables manquaient encore en 1905. Les notions disponibles sur le temps étaient encore celles d'Isaac Newton, tout à fait impropres à raisonner la microphysique. Or le macro-temps newtonien, ainsi que la causalité statistique démontrée en théorie cinétique des gaz, volent en éclats dès qu'on doit considérer les ondes individuelles que sont les photons, les électrons, etc. : une onde individuelle a un seul émetteur et un seul absorbeur. Elle ne réside pas dans le macro-temps newtonien. Or les absorbeurs et les émetteurs d'ondes individuelles sont le plus souvent tenus par une syntaxe contraignante en microphysique. Erwin Schrödinger a prouvé en 1926 que dans tous les cas qui intéressent le spectroscopiste depuis Wollaston et Fraunhofer, l'atome ou la molécule avaient des états stationnaires avant et après, où la phase de l'onde broglienne électronique boucle exactement autour du ou des noyaux. Le photon émis ou absorbé est juste le battement entre la fréquence broglienne (intrinsèque donc) de l'état final et celle de l'état initial de l'atome ou de la molécule. L'espace intermédiaire n'a pas à être "informé" qu'il héberge un quantum h entier ou partiel, ce n'est pas son problème, et ce n'est pas là dessus qu'il intervient.
Contre-exemple d'un émetteur qui ignore tout d'un couple d'états stationnaires avant-après : un synchrotron. Vous n'obtenez des renseignements spectraux sur son rayonnement qu'avec des senseurs qui eux sont spectraux.
Contre-exemple d'un absorbeur qui ignore tout d'un couple d'états stationnaires avant-après : un électron dans un tube cathodique, accéléré par une ddp, voire dévié par un champ électrique ou magnétique.

Autre faute professionnelle incluse dans la narrative hégémonique : comme un tableau noir ne peut héberger qu'un nombre fini d'équations et de données, DONC la réalité microphysique d'un émetteur de photons ou d'électrons tient toute entière dans la liste que j'ai écrite, et je peux isoler des conditions initiales que je connais. C'est écarter la preuve publiée dès 1923 par Louis de Broglie, que chaque onde broglienne est étendue dans l'espace, et qu'aucune mythique "condition initiale" ni du reste la condition finale non plus, n'est écrantable du bruit de fond broglien. Ce n'est qu'en recommençant l'expérience de nombreuses fois qu'on peut espérer moyenner ce bruit de fond, et grâce aux grands nombres retrouver en statistique des lois simples, d'apparence newtonienne. L'objection du bruit de fond est aussi valide côté absorbeur que côté émetteur. Les transactions réussies [émetteur - espace optique intermédiaire - absorbeur] émergent de ce bruit de fond ; la grosse surprise est que chaque transfert qui en résulte est unidimensionnel, et de largeur minime, limitée par Fermat et Young. Même si quelques quatorze milliards d'années séparent l'émission de l'absorption dans notre macro-temps humain, la nature n'en a cure.

Lavau
Membre Naturel
Messages: 54
Enregistré le: 03 Juin 2017, 18:46

Re: la mécanique quantique

par Lavau » 13 Avr 2020, 13:30

Emporté par mon élan, j'oubliais de mentionner les preuves que jamais non plus l'électron ne se transmute en corpuscule. Il reste onde individuelle, de réaction en réaction depuis la nuit des temps jusqu'à la fin des temps.
D'une part la radiocristallographie en utilisant des électrons. J'ai déjà donné sa démonstration en classe avec matériel Leybold.
D'autre part, établi depuis 1921, l'effet de transparence Ramsauer-Townsend est analogue aux couches anti-reflets de l'optique photonique. Le matériel d'expérience pour les étudiants du M.I.T. ne comporte qu'une seule pièce non standard : un thyratron acheté sur étagère, un RCA 2D21.

Résultat : un minimum d'absorption et dispersion dans le xénon vers 0,7 V. Quand ? Quand la longueur d'onde de l'électron vaut environ quatre fois le diamètre de l'atome de xénon, ou autre gaz d'expérience.
Comparaison obtenue en condensant ce xénon dans la tête du thyratron plongée dans l'azote liquide.
Bibliographie de l'effet Ramsauer-Townsend
J. S. Townsend et V. A. Bailey, « The motion of electrons in gases », Philosophical Magazine, vol. S.6, no 42, 1921, p. 873–891
J. S. Townsend et V. A. Bailey, « The motion of electrons in argon », Philosophical Magazine, vol. S.6, no 43, 1922, p. 593-600
J. S. Townsend et V. A. Bailey, « The abnormally long free paths of electrons in argon », Philosophical Magazine, vol. S.6, no 43, 1922, p. 1127-1128
J. S. Townsend et V. A. Bailey, « The motion of electrons in argon and in hydrogen », Philosophical Magazine, vol. S.6, no 44,[ 1922, p. 1033-1052
J. S. Townsend et V. A. Bailey, « Motion of electrons in helium », Philosophical Magazine, vol. S.6, no 46, 1923, p. 657-664
C. Ramsauer, « Über den Wirkungsquerschnitt der Gasmoleküle gegenüber langsamen Elektronen », Annalen der Physik, vol. 369, no 6, 1921, p. 513-540 (DOI 10.1002/andp.19213690603)
C. Ramsauer, « Über den Wirkungsquerschnitt der Gasmoleküle gegenüber langsamen Elektronen. II. Fortsetzung und Schluß », Annalen der Physik, vol. 377, no 21, 1923, p. 345-352 (DOI 10.1002/andp.19233772103)
MIT Department of Physics, August 28, 2013. The Franck-Hertz Experiment and the Ramsauer- Townsend Effect : Elastic ans Inelastic Scattering of Electrons by Atoms.
David Bohm, Quantum Theory, Englewood Cliffs, New Jersey, Prentice-Hall, 1951
R. B. Brode, «  The Quantitative Study of the Collisions of Electrons with Atoms  », Rev. Mod. Phys., vol. 5,[200E?] 1933, p. 257
W. R. Johnson et C. Guet, «  Elastic scattering of electrons from Xe, Cs+, and Ba2+  », Phys. Rev. A, vol. 49,[200E?] 1994, p. 1041
Nevill Francis Mott, The Theory of Atomic Collisions, Oxford, Clarendon Press, 1965, chap. 18
David Whyte, The Ramsauer– Townsend Effect, Dublin, Trinity College Dublin, 18 mars 2010
International Journal of Modern Physics A, January 1997, Vol. 12, No. 02 : pp. 305-378
M. W. Lucas, D. H. Jakubaßa-Amundsen, M. Kuzel, and K. O. Groeneveld. Quasifree Electron Scattering in Atomic Collisions: The Ramsauer– Townsend Effect Revisited.
(doi: 10.1142/S0217751X97000463)
Ramsauer- Townsend minima in the electron-scattering cross sections of polyatomic gases: methane, ethane, propane, butane, and neopentane. D L McCorkle, L G Christophorou, D V Maxey and J G Carter.
Journal of Physics B: Atomic and Molecular Physics, Volume 11, Number 17
L.G. Christophorou and D.L. McCorkle. Experimental evidence of the existence of a Ramsauer- Townsend minimuml in liquid CH4 and Ar (Kr and Xe) and in gazeous C2H6 and C3H8. Can. J. Chem. Vol 55. 1977.
F.A. Gianturco, D.G. Thompson. The Ramsauer- Townsend effect in methane. Journal of Physics B, At ; Mol. Phys. 9, L383.
W. Aufm Kampe, D.E. Oates 1, W. Schrader, H.G. Bennewitz. Observation of the atomic Ramsauer-townsend effect in 4He-4He scattering.
Chemical Physics Letters, Volume 18, Issue 3, 1 February 1973, Pages 323-324
W.H. Miller. Molecular Ramsauer- Townsend effect in very low energy 4He-4He scattering. Chemical Physics Letters. Vol. 10, Issue 1, 1 July 1971, pp. 7-9.
K. Jahankohan, H. Hassanabadi, S. Zarrinkamar. Relativistic Ramsauer– Townsend effect in minimal length framework.
Modern Physics Letters A Vol. 30, No. 32, 1550173 (2015)1550173
J. Vahedi, K. Nozari. The Ramsauer- Townsend Effect in the Presence of a Minimal Length and Maximal Momentum. Acta Physica Polonica A. Vol 122 (2012) n° 1.
J. Vahedi, K. Nozari, P. Pedram. Generalized Uncertainty Principle and the Ramsauer- Townsend Effect. 9 august 2012.
David D. Reid, J.M. Wadehra. Scattering of low-energy electrons and positrons by atomic beryllium : Ramsauer- Townsend effect. Aug, 2014. J. Phys. B : At. Mol. Phys.
Stephen G. Kukolich (1968). Demonstration of the Ramsauer- Townsend Effect in a Xenon Thyratron. American Journal of Physics, 36(8), 701-703.
David-Alexander Robinson ; Jack Denning ; 08332461. The Ramsauer- Townsend Effect. 25 march 2010.
Martha Buckley, MIT Department of Mathematics. The Ramsauer- Townsend Effect. December 10, 2002.
M. Kuzel, R. Maier, O. Heil, D.H. Jakubassa-Amundsen, M.W. Lucas, K.O. Groeneveld. Ramsauer- Townsend Effect in te Electron Loss from H0 colliding with Heavy Atoms. Physical Review Letters, volume 71, number 18 ; 1 november 1993.

Léger détail : c'est censuré dans tous les manuels de MQ sauf deux. En français : le manuel de physique générale de Sivoukhine, tome 5, Editions Mir.

 

Retourner vers ⚛ Physique

Qui est en ligne

Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun utilisateur enregistré et 9 invités

Tu pars déja ?



Fais toi aider gratuitement sur Maths-forum !

Créé un compte en 1 minute et pose ta question dans le forum ;-)
Inscription gratuite

Identification

Pas encore inscrit ?

Ou identifiez-vous :

Inscription gratuite