Bonjour,
Je réalise en ce moment une expérience sur l;)étanchéité d;)un caisson. Celui-ci est de conception très rigide. L;)idée est de mesurer d;)éventuelle fuite en réalisant une surpression à l;)intérieure. Pour cela, un branchement est réalisé : valve de gonflage + cordon + bouteille d;)azote + manomètre. La surpression est de 300 mbar. Puis 24 heures plus tard un relevé de cette surpression est réalisé : 250 mbar. La question est de connaître si oui ou non il y a une fuite, et dans ce dernier cas de combien ?
Pour réaliser cette expérience, j;)ai relevé la pression atmosphérique à l;)extérieur de l;)enceinte avant sa fermeture : 996 mbar sous une température ambiante de 22°c (Cette température est aussi celle à l;)intérieur du caisson)
Après sa fermeture, gonflage de l;)enceinte à 300 mbar.
Je pense que la pression à l;)intérieur de l;)enceinte au début de l;)expérience, ramené à 20°c, est de 1287.2 mbar (Formule appliquée : P.V = n.R.T) 24 heures plus tard la surpression est de 250 mbar, la pression atmosphérique ambiante, à l;)extérieur de l;)enceinte, est de 1023 mbar, à 30°c. Dois-je tenir compte de cette pression atmosphérique pour calculer la fuite éventuelle ? Si oui ; je trouve une pression, ramené à 20°c, à l;)intérieur de l;)enceinte de 1239.3 mbar (la température dans l;)enceinte est de 20°c) Ce qui donne une fuite de 48 mbar.
En fait j;)en ai tenue compte car je pense que le cordon reliant la valve de l;)enceinte au manomètre n;)est pas assez rigide pour éviter les différences de pressions du milieu ambiant, de plus celui-ci a été débranché puis rebranché pour les mesures. Mais si le cordon était un tuyau très rigide et branché en continue sur le manomètre les résultats auraient-ils été différents ?
Merci.
