Devoir type brevet

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raissa1011
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Devoir type brevet

par raissa1011 » 16 Mar 2007, 12:55

Bonjour
Je ne sais pas si je poste au bon endroit .
J'aimerais savoir si quelqu'un pourrais corriger mon devoir merci


Voici le texte :


L'action se déroule au Congo
Olouomo, sur la véranda, chantait en pilant. Elle ne m'avait pas vu me glisser dans la pièce arrière. Je lorgnais le régime de fruits mûrs accroché à la poutre. Des petites bananes, de la taille d'un pouce. Les plus sucrées. Un jour je m'en suis tellement régalé que j'ai souffert de coliques.
5 Mais comment les atteindre là- haut ?
La veille, en attachant le régime, ma mère m'avait dit en me menaçant du doigt :
- Eh toi, petit monsieur là, n'oublie surtout pas d'aller en voler.
A côté des fruits, la fontaine à filtrer l'eau. Un cylindre blanc avec à la 10 base un robinet minuscule. Quand on le dévissait, je disais que l'appareil faisait pipi. La première fois que le Commandant] avait entendu cette réflexion, il avait éclaté de rire et m'avait pris dans ses bras avec fierté.
Comme un chat à l'afflût, j'étudiais l' itinéaire. En escaladant la chaise, je pourrais grimper sur le meuble et, en m'appuyant contre le filtre, arracher
15 une banane parmi les plus mûres. Juste une. Personne ne s'en apercevrait.
Je ne sais plus la suite.
Mais on a tant de fois commenté l'événement que je peux reconstituer le scéne.
J'ai dû glisser, et toute le famille est accourue en même temps,
20 répondant à mes cris. Olouomo fut la première à me porter secours. Ma mère m'a pris dans ses bras et a appelé à l'aide. On lui avit tué son fils. On le lui avait tué, hé ! On eût dit une chanson rituelle au rythme des sanglots.
Le Commandant est intervenu sans un mot : il m'a arraché des bras de ma mère et a élevé la voix. Ngalaha a hurlé de plus belle. Gronder
25 un enfant ! Gronder un enfant qui s'est fait mal !...
Le Commandant lui a jeté un regard noir et m'a emporté en direction du dispensaire.
Les odeurs de médicaments sont insupportables. Surtout celles-ci. On eût dit les médicaments de la douleur et de la mort. J'en hurlait plus fort encore.
30 Quand j'ai repris conscience, j'apercevais au travers de ma moustiquaire les combres chinoises des grandes personnes qui murmuraient autour de moi. Elles parlaient de point de sudure. On avait dû me souder la peau.
Aujourd'hui encore, j'en porte la cicatrice sur l'épaule gauche.

Henri Lopes, Le chercheur d'Afriques


Voici les questions :

1 La convoitise.

1/ Quel est l'objet de la quête de l'enfant ?
Réponse : L'objet de la quête de l'enfant est d'aller voler les bananes accroché à la poutre.

2/ " Je lorgnais le régime de fruits mûrs accroché à la poutre. " (l. 2-3)
a. Trouvez un synonyme pour le verbe "lorgner"
Réponse : voici un synonyme viser

b. Expliquez le choix de ce verbe par le narrateur
Le narrateur a choisi ce verbe pour dire qu'il ragarder les fruits mûrs accroché à la poutre.

3/ " Des petites bananes, de la taille d'un pouce. Les plus sucrées. " (l 3-4)
a. Nommez la particularité grammaticale de ces phrases
Réponse : ce sont des phrases nominales
b. Quel est l'effet produit ?
Réponse : je ne sais pas ...

4/ En utilisant vos réponses précédentes, dites quelle caractéristique particulière du narrateur est mise en évidence.
Relevez la phrase du texte qui la confirme.
Réponse : je ne sais pas car je n'est pas trouver les réponses
précédentes.

5/
a. " Comme un chat à l'afflut, j'étudiais l'itinéaire. "
Quelle est la figure de style utilisée.
Réponse : le figure de style utilisée est la comparaison

b. De quelle qualité l'enfant devrat-il faire preuve pour atteindre son but ?
Réponse : Il devra faire preuve de la qualité du chat être rusé.

c. Trouvez dans les lignes 1 à 4 une action du petit garçon qui rapelle celle du chat.
Réponse : elle ne m'avait pas vu me glisser dans la pièce arrière.


2 L'événement.
1/ De quel événement sagit-il ? Justifiez votre réponse en citant le texte.
Réponse : lignes 19 L'événement est quand il a glissé

2/ Lignes 16/17 : " Je ne sais plus" et je "peux".
a. A quel temps sont ces deux verbes ? Quelle est la valeur de ce temps ?
Ces deux verbes sont au présent. La valeur est le présent d'énonciation.

b. A quel moment de la vie du narrteur renvoient ces "je" ?
Ces "je" revoient au moment de l'événement quand il été enfant.

c. Relevez, à la fin du texte, une phrase où l'on retrouve ce temps et ce pronom personnel ?
Reponse : ligne 33 j'en porte

3/ Aprés avoir évoqué l'evénement, sur quoi le narrateur s'appuie-t-il pour poursuivre son récit ? Relevez la phrase qui l'indique .
Reponse : ...

3 Les récations.
1/ L. 16.à 22 : "Je ne sais plus [...] hé ! " : qui prononce les paroles rapportées dans ce passage ? A quel style sont-elle rapportées ?
Réponse : C'est el narrateur qui prononce les paroles dans ce passage.
Et le style je sais pas

2/ l 16 à 25 : compare les réactions du pére avec celles de la mére.
Justifiez votre propositons en vous appuyant sur le texte .
Réponse :

3/ L 30 à 32 : l'enfant a-t-il une perception précise de la situation ?
Justifiez et précisez vos réponse.
Réponse : Non il n'a pas une perception précise de la situation car ligne 16 " je ne sais plus la suite"

4/ " Les odeurs de médicaments sont insupportables." ( l.28)
a. Quel est le temps verbal employé ? Quelle est sa valeur ?
Réponse : passé composé. Sa valeur est ...

b. Quelles indications donne-t-il sur le narrateur adulte ?
Réponse : l 33 aujourd'hui


Réécriture

l30 à 32 : Quand ... gauche.
Réécrivez ce passage en mettant les verbes au futur simple de l'indicatif et en remplacant je par ils. Faites les modifications nécessaires. Remplacez " qui murmuraient" par un participe.

Reponse : Quand ils reprendront conscience, ils apercevront au travers de leur moustiquaire les ombres chinoises des grandes personnes murmurant autour d'eux. Elles parleront de points de soudure. On aura dû leur souder la peau.
Demain, ils porteront leur cicatrice sur leur épaule gauche.

Alors pouvez-vous verrifia si c'est correct ?
s'il vous plait merci


petit précision

Olouomo est une parente venue aider la mère du narrateur aux travaux du ménage et lui tenir compagni

Le pére du narrateur, médecin militaire français, est surnommé "le commanadnat" par son entourage.

Ngalaha est le prénom de le mère du narrateur.

merci d'avance



 

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