Re salut,
en fait l'idée de la khôlle est de travailler avec des structures abstraites de façon
concrète. Dans mon énoncé, tu remarques que le groupe G est définit alors que son sous-groupe H est pour le moment arbitraire. Aujourd'hui, les élèves un peu bloqués comme toi du fait qu'ils aient du mal à imaginer les outils qu'ils manipulent, ont tout de suite compris que pour se faire une idée, il fallait fixer H et essayer de décrypter alors l'énoncé.
Ici, par chance, j'ai donné un exemple de H possible à la fin de l'énoncé il s'agit du sous-groupe formé des permutations de {1,...,n} qui fixent n (
.
A partir de là, on peut interpréter l'énoncé. Par exemple l'ensemble R (comme
Relation... ). Un couple de permutation
est dans R lorsque
où t est dans H, ie est une permutation qui fixe n.
Autrement écrit,
(Tu peux t'arrêter deux minutes sur cette égalité qui permet de répondre à la question II] 1) )
Finalement, deux permutations sont en relation (= le couple est dans R) lorsqu'elles envoient n sur la même image. (Pour faire l'analogie avec un groupe de n personnes qu'on veut placer sur n chaises, deux "placements" sont en relation si la dernière personne est affecté à la même chaise quel que soit le placement.)
L'idée des classe d'équivalences est alors de classer les permutations selon l'image qu'elles affectent à n. Je te laisse regarder tout cela d'un peu plus près et continuer avec cet exemple dans la tête.