Bien vu le contrexemple en non commutatif!
Il est possible qu'il n y ait pas beaucoup d'autres contrexemples que ça, mais restreignons nous donc au cas commutatif pour commencer.
Malheureusement, l'étude du probleme semble demander de s'y connaitre en topologie de R^n, ce qui n'est pas trop mon cas. Mais voilá quelques pistes:
-L'équation

(e=le neutre) n'a pas de solutions autre que z=e: en effet, cette équation signifie que l'aplication

est une involution de C, et un résultat de topo (que je sais pas montrer...) dit qu'une involution continue du plan a nécessairement un point fixe, ce qui n est pas le cas si z est différent de e.
-Comme on est dans le cas commutatif, ça implique que

est injective.
-Un autre résultat de topo que je sais pas démontrer dit que le fait que

est injective et continue implique que cette application est ouverte. Si on montre de plus par exemple que l'application est propre, ce qui ne semble pas déraisonnable, ça implique que l'application est aussi fermée, donc surjective et ce serait donc un homeo. On aurait donc une "racine carrée" á notre disposition.
-On pourrait alors ensuite alors définir comme en dimension 1 les puissances dyadiques pour

, puis étendre aux puissances réelles si tout se passe bien, puis peut être même des puissances complexes en posant

pour b bien choisi.
PS:beaucoup de changements sur le forums, mais toujours pas de mode mathématique s'activant avec $...$
