Sylviel a écrit:Bon au final tout ce que tu as dis pour le moment c'est : soit p premier alors l'ensemble {n²+n+p|n\in N} comprends des nombres premiers et d'autres composé. Pour l'instant c'est une totologie...
Hello, bonjour à tous
A force de vouloir présenter une démonstration tip top je me perd dans mes phrases et par ailleurs je découvre d'autres notions que je n avais pas vu au préalable. Tant pis, cela a trop durer. J ai essayé de repreciser certaines affirmations en tenant compte des commentaires. Sans doute il y aura des redits et des oublis. Mais je suis sûr que je tiens un mécanisme opérationnel. Bonne lecture...
La somme dune fonction paire avec un nombre premier
implicitement impair, donne systématiquement un nombre impair soit n²+n+p = I . Plus précisément selon certaines valeurs de n noté np la somme donnera un nombre premier P soit np² + np + p = P ; selon dautres valeurs de n noté nc la somme donnera un nombre non premier ou nombre composé C soit nc² + nc + p = C.
Il vient
P;);)
(np,p) /
np;)^2+np+p=P ou bien son pendant
C;)(J;);))
(nc,p) /
nc;)^2+nc+p=C
Cest reléguer à un épiphénomène les nombres chanceux dEuler.
Donc p par n²+n va créer des nombres premiers P;),P;),P;),P;), etc. Son quota de premiers grandira avec la valeur de n.
= {np²+np+1};){np²+np+3};){np²+np+5};){np²+np+7};)
;){np²+np+p};)
Pour np=0 on trouve
= {1} U {3} U {5} U {7} U ... U {p} U ... soit lensemble des premiers impairs. Même si np=0 serait solution unique, la formulation
P;);)
(np,p) /
np;)^2+np+p=P restera vraie
Or non seulement p produit en quantité non fini des premiers P, mais P peut-être produit par plusieurs p. Chaque P connait alors sa partition de couple (np,p) avec p = P - np² -np
Ex1 : P=229
(0,229) ; (1,227) ; (2,223) ; (5,199) ; (7,173) ; (8,157) ; (9,139) ; (11,97) ; (12,73) ; (13,47) ; (14,19)
Ex2 : P=541
(0,541) ; (4,521) ; (6,499) ; (10,431) ; (11,409) ; (13,359) ; (14,331) ; (16,269) ; (18,199) ; (21,79)
donc : p ne sera jamais supérieur à P
donc :
P;)P
(n;),p;));)N*P
P=n;)²+n;)+p;) et
P;)P
(n;),p;));)N*P
P=n;)²+n;)+p;)
doù
p = p;)- p;)= ( n;)- n;))( n;)+ n;)+ 1 )
RQ. : On retrouve pour n;) = 0
p = p;)- p;)= P -p;) = n;)( n;)+ 1 )
Sur un tableau Excel, labscisse positive dirigée vers la droite, trace les p tandis que lordonnée positive dirigée vers le bas trace les n. Labscisse négative dirigée vers la gauche trace les p tandis que lordonnée négative dirigée vers le haut trace les n.
Nous obtenons ainsi 4 zones où léquation va donner ses 4 écritures possibles
1/ zone droite basse : P = n² + n + p
2/ zone gauche basse : P = n² + n - p
3/ zone gauche haute : P = n² - n - p
4/ zone droite haute : P = n² - n + p
Chaque cellule contient la formule P = n²+n+p.
Choisissez une valeur de P et recherchez son apparition dans le tableau ainsi créé : la multitude de P vous apparaîtra alors dans toute son étendue.
P se produit en quantité non fini dans tout lespace [-p,-n,n ,p] et non pas exclusivement dans lespace [n ,p] . Il forme une courbe à points, dallure parabolique comme la fonction/souche n²+n, croissante vers laxe -p , et nulle en p.
Lordonnée n est le miroir de lordonnée n car f(-n) = f(n 1). Dorénavant on pourra se contenter de travailler sur lespace [-p,n ,p], puisque sur n on obtiendra les mêmes P quen n absolue.
En résumé :
P;)P n²
n
p = P avec
: + ou -
Dans le tableau Excel, chaque colonne p produit son lot de premiers et de composés, éléments déjà existants dans lensemble des impairs J, avec une signature ou un spectre dapparition propre.
Chaque élément p de P produit un sous-ensemble de J mais ipso facto également un sous-ensemble de P. Cest comme si une fonction ici n²+n par p, réorganisait la distribution des premiers de P en une
p collection de nombres premiers.
Une autre propriété remarquable est décelable : le nombre de collections q pour déterminer un nombre continu k de premiers sera toujours inférieur à la nième position du dernier premier trouvé dans
.
Ex : avec
p= { n²+n + p } ensemble de fonction de compte des nombres premiers par p
1 donné par
;) ; 3 donné par
;) ; 5 donné par
;) ; 7 donné par
;) ; 11 donné par
;) ;
13 donné par
;) ; 17 donné par
;) ; 19 donné par
;) ; 23 donné par
;) ; 29 donné par
;);) ;
31 donné par
;) ; 37 donné par
;) ; 41 donné par
;);) ; 43 donné par
;) ; 47 donné par
;)
Pour déterminer les k premiers nombres premiers dans
, il faut q collections de p par n²+n
avec k qui sera toujours supérieur ou exceptionnellement égal à q.
pour k = 1 q = 1 ; pour k = 2 q = 1 ; pour k = 3 q = 2 ; pour k = 4 q = 2 ; pour k = 5 q = 3 ; pour k = 6 q = 3 ; pour k = 7 q = 3 ; pour k = 8 q = 4 ; pour k = 9 q = 4 ; pour k = 10 q = 7 ; pour k = 11 q = 7 ;pour k = 12 q = 7 ; pour k = 13 q = 7 ;pour k = 14 q = 7 ; pour k = 15 q = 7 ;
Explication : Pour déterminer les k premiers nombres premiers dans l'ensemble des premiers P, seuls q collections sont nécessaires ; c.à.d. seuls les q premiers nombres premiers de P par n²+n sont à connaître.
La valeur du nombre q de collection IpI se réduit dautant plus que les premiers de
_-p sont comptabilisés avec ceux de
_p. IpI (en valeur absolu) intégrera la collection de +p et la collection de p.
Pour progresser dans le recensement contigu des k premiers, q augmentera mais ne dépassera jamais la valeur de k.
Il ny a rien dexceptionnel en cela. Un rameau sur une souche donnera toujours des ramifications. La souche cest la fonction ici n² + n, le rameau cest p , les ramifications les P produits et triés par rapport aux non premiers. Le rameau pourrait être les d soit les dizaines, les ramifications les D dizaines produits par chaque d (n² + n + 10 ; n² + n + 20 ; n² + n +30 ; etc ). Le rameau pourrait être les multiples dun premier, etc (n² + n + 3 ; n² + n + 6 ; n² + n + 9 ; etc ). Mais pour ces cas là, le tri est pour le cerveau facilement opérable.
Mais par ailleurs, n² + n, n'est pas l'unique fonction permettant le recensement des premiers. Cela marche pour 3n² + 3n ou tout k(n² + n). Les filtres sont plus élaborés mais ils existent et ils fonctionnent (deux filtres pour 3n² + 3n + 5 viennent dêtre identifié, par ex y=Ax²+Bx+C).
Il m'a été difficile d'admettre cette extension. Je pensais que la 'filtration' n'était possible qu'avec n² + n. Il n'en est rien... Il faut prendre conscience que les collections élaborées à partir de fonctions plurielles sont gouvernées par les mêmes principes.La souche doit être une fonction continue, croissante dans Z,
paire? et important avoir un point zéro .
( sinon impossible de trouver en singletons tous les éléments de l'ensemble des premiers de P )La saveur de p est recherchée parmi tous les nombres produits par la fonction f(n) + p. Cela revient à filtrer les nombres produits par f(n) + p qui ont la même saveur que p.
Conclusion : (ce que je n ai jamais lu dans la littérature )
p est dans Z
=
_1 (p)
_3 (p)
_5(p)
_q (p)
La fonction de compte des nombres premiers est déclinable en une collection de fonction de compte de nombres premiers recensés dans n² + n + p.
Il ny a besoin que de q collections pour déterminer les k premiers premiers contigus.
Chaque collection constitue une fonction de compte fille par rapport à la fonction de compte mère qui est
. Cest un échantillon représentatif de la distribution des premiers dans P. Les propriétés
et les conjectures qui seront découvertes dans une collection seront reportables dans dautres collections du fait du lien de parenté.
Chaque p par n² + n , collectionne des premiers de l'ensemble des premiers P. Cela dune manière déterminée et ordonnée. Il ny a pas de hasard ni de chaos. Les nombres premiers ne jouent pas aux dés.Ils aiment les cycles, les séquences et les séries...
Je préciserai pour les premiers de quelle manière le tri seffectue, en réponse à Basse789 notamment. Bien à vous