Imod a écrit:Garder les symboles sans la logique qui va avec n'a pas beaucoup de sens et j'ai toujours trouvé le raisonnement par équivalence trop sophistiqué pour le lycée .
Il y a tellement à dire sur les nouveaux progammes :marteau:
J'espère avoir mal compris le sens de ta dernière phrase :--:
Imod
C'est pas l'équivalence qui est compliquée,
ce devaient ètre les situations pédagogiques demandées qui étaient compliquées.
Parce que à la base, c'est juste du spatio-temporel:
la route est à sens unique de A vers B ou le route est à double sens de A vers B et de B vers A.
Deux directions, apprenez leur à traverser, c'est jouable au lycée.
maintenant vu le cinoche sur l'implication, demander l'équivalence, on comprend que les profs se réservent cela pour l'élite, pour plus tard en supérieur et à un certain public.
Du coup, sont autorisées les règles bizarres.
il faut utiliser les conjonctions de coordination dans les rédactions,
oui mais pas le si ... alors ...
Une prof de maths est venue sur ce site nous présenter son blog.
Plutot sympa, avec des conseils de rédaction:
toujours partir de l'énoncé et non pas de ce qui est à démontrer,
et elle met un exemple où l'élève part de la fin et arrive au début.
C'est considéré comme faux, ou au moins comme points à enlever,
alors que l'élève a dans ce cas précis mis en exemple tout à fait le droit d'écrire cela dans le sens inverse.
Il ne s'agit pas que des programmes, puisque l'on nous dit que certains profs autorisent ou n'autorisent pas certaines écritures.C'est bien de la capacité de résistance individuelle dont il est question aussi.
L'important est de savoir quoi faire lorsqu'il n' y a rien à faire.