par beagle » 09 Oct 2015, 17:09
Et bien disons qu'il ya un contraste entre les buts louables, la philosophie derrière les classes euro et l'europe que l'on vit, l'europe que l'on fait vivre.
Pour les classes euros, on parle de culture, de culture différente selon les langues, selon les pays.
C'est très bien et on suit, on applaudit
Mais l'europe actuelle c'est la négation des cultures,
négation d'une culture commune, d'une civilisation européenne occidentale
l'europe comme culture commune doit s'effacer, n'a rien à offrir aux arrivants ...
De mème la négation des nations car nation, nationalisme, bouh pas beau,
c'est bien la négation des spécificités culturelles des nations européennes.
au profit de quoi?
du con-sommateur mondialisé qui doit gober ce que le capitalisme mondialisé produit
et de l'homme nouveau aculturé, sans passé , sans histoire, cet homme nouveau à façonner, comme par exemple avec le gender
Bref vous ètes dans des classes euros qui se revendiquent de la culture,
culture qui n'est pas le parent pauvre de la construction européenne,
mais bien un élément à abattre,
et la destruction pierre par pierre a lieu tous les jours.
Alors l'Europe comme fin de la guerre?Voilà bien un bel item dans le sondage. Guerre entre les nations européennes sans doute.
Mais pour le reste l'europe actuelle est bien belliqueuse en tant que vassal des etats-unis.
Et de transformer un potentiel de guerre entre les nations par la guerre civile à l'intérieur des nations, quel résultat.Avec dans un premier temps un renforcement de l'état policier, d'un état qui dit ce que l'on est autorisé de penser, et ce qui est interdit.Plutot que d'éradiquer ce qui amène cette pensée.Ah le beau soucis des écologistes, faites attention aux centrales nucléaires.Mais incapable de penser l'écologie des populations ...
Tu dis que tu ne veux rien faire dire avec ton sondage,
oui nous sommes d'accord puisque c'est ton prof qui l'a rédigé.mais lui sait ce qu'il veut faire dire.Il sait ce dont il ne veut pas dont on parle ...
L'important est de savoir quoi faire lorsqu'il n' y a rien à faire.